Quoi de neuf sur l'île d'Enola ?

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~22 - 28° / Températures en hausse et grand soleil !

Intrigues et Events
Intrigue n°3 : « Ferveur »
L'Elu auto-proclamé des Monarchistes fait son entrée ! La Compétition, Elixir et le Gouvernement sont en crise et les Anarchistes demandent la démission du Chef du Conseil.
Mini event n°1 : Panique à Vanawi !
Un blocus Anarchiste est en cours à Vanawi, sous surveillance des forces de l'ordre.

Missions et Défis
Un guide dans les ruines (mission)
Faites découvrir les ruines du Titak !
La comète (défi)
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Patrick Olson
Patrick Olson
Patrick Olson
INFORMATION GÉNÉRALES

Nom : Olson
Prénom : Patrick (à noter qu’il déteste son prénom et qu’il se fait le plus souvent connaître par son pseudonyme de dresseur)
Surnom(s) : Pat, Lau, Pète-Burne, Causette
Âge : 19 balais
Date de naissance : 8 juillet 2003
Genre : Homme
Origine(s) : Enolianne
Date d'arrivée sur l'île d'Enola : Patrick y est né et il y a toujours vécu.
Métier/Occupation/Études : Dresseur en devenir, Patrick souhaite se faire un nom (et pas qu’un petit) au sein de la compétition. Il s’acharne donc dans le but de se faire une place dans la cours des grands. A côté de ça, il est jeune titulaire d’un Bac avec mention assez bien et est depuis son diplôme, bénévole au sein d’une association humanitaire dans laquelle il anime des ateliers d’écritures. Amoureux de la plume, il écrit beaucoup mais n’a jamais confronté ses écrits à un public professionnel. Il considère l’écriture comme un besoin vital au même titre que manger et dormir et n’a donc jamais ressenti le besoin de l’exposer. Il serait même plus exact de dire que Patrick entretient une relation très intimiste avec ses écrits. Le papier est une sorte d’exutoire, de moyen d’extériorisation. Il tient d’ailleurs avec une rigueur exceptionnelle l’écriture de son journal intime (journal dont il a un peu honte parce que « Holalala, t’es un homme et t’écris un journal comme une gonzesse c’est pas très viril tout ça » et qu’il cache par des trésors d’imaginations des mains un peu trop curieuses de sa sœur.). Pour arrondir ses fins de mois et satisfaire son égo d’adolescent en manque d’émancipation, il travaille quelques soirs par semaine dans un bar tenu par un ami proche rencontré pendant uns de ces ateliers, depuis six mois maintenant.
Lieu de résidence : Nuva Eja, avec sa mère (et je ne sais pas mais la logique voudrait aussi sa sœur ? A voir x) )
Groupe : Compétition
Sous-Groupe : Compétiteur
Rôle : Dresseur
Pseudonyme : Patrick déteste son prénom. On pourrait y voir un autre moyen de contestation de l’autorité maternelle (et dans un sens ce n’est pas totalement faux) mais il faut dire que, même petit, le jeune-homme ne l’a jamais supporté. Patrick c’est vieillot, c’est beauf et ses petits camarades de primaire ont eu à cœur de lui rappeler. Alors, très rapidement, Patrick a décidé qu’il s’appellerait autrement. Son choix s’est porté sur « Laurell » c’est beau Laurell, comme prénom, c’est plus jeune, plus frais, plus cool. Puis Lau’ comme surnom ce sera toujours plus sexy que Pat. Alors quand il s’est mis en tête d’embrasser le défi de la Compétition, il s’est empressé d’en faire son pseudonyme officiel. Aujourd’hui, il veut exister en tant que Laurell Olson, même si maman et la sœur n’en ont rien à faire de ses préférences.

FICHE DRESSEUR
Informations
Rôle : Dresseur
Voulez-vous utiliser le dé shiney? : Oui

Équipe Aventure
- Pandespiègle ♂ - Hercule - Brise Moule - Brave
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Sa relation avec Hercule a connu des débuts… Rock’n roll ! Petit, Patrick n’avait pas le mauvais caractère qu’on lui connaît aujourd’hui, c’était un petit garçon bien plus pleurnichard que maintenant et avec un certain goût pour les crises de panique au moindre bruit suspect. Ce petit Pandespiègle venait régulièrement terroriser les enfants Olson dans leur jardin avec sa bande. Jusqu’au jour où la dite bande tourna le dos au petit Caïd qu’était Hercule. Il retourna alors, un jour, au jardin Olson, la queue entre les jambes. Ce fut le début d’une amitié solide entre d’un côté, le Pokémon trahit et de l’autre, l’enfant froussard mais voulant être Brave.
- Héricendre ♂ - Ikki - Brasier- Discret
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Ikki est le premier Pokémon qu’il est attrapé seul. Il avait 12 ans, il rentrait de l’école avec un pari idiot en tête : Celui de prouver qu’il n’était pas une « taffiolle » parce qu’il avait eu une très bonne note à son devoir de Poésie. Il avait donc fanfaronné qu’il irait seul dans la nature, comme un grand, et qu’il ramènerait une preuve de son expédition. La preuve fut Ikki… Et une fessé monumentale de la part de sa mère, quand, sous les coups de 2h du matin, la future Patronne de la Compétition retrouva son fils couvert de boue et visiblement très heureux d’avoir inquiété la personne très occupée qu’est sa maman.
- Rocabot ♂ - Idéfix - Regard Vif  - Jovial
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Œuf Pokémon confié par la Compétition au moment de votre inscription afin de tester votre capacité d'adaptation à un nouveau Pokémon que vous n'aurez pas choisi. Votre personnage en ignore le contenu. Celui-ci est choisi par vous dans une Sélection de trois Pokémon préparée par le Staff.


PHYSIQUE
Couleur de peau : Patrick à la peau couleur pêche, légèrement bronzée. Le Soleil de Nuva Eja n’en ai pas étranger, d’ailleurs.
Description des cheveux : Sa sœur la trouve ratée, sa mère surement tout autant. Cependant, Patrick affectionne beaucoup sa coupe. Faut dire qu’être un fan incontesté de Peaky Blinder’s quand on a quinze ans, forcément, ça sentait l’excentricité capillaire à plein nez. En pleine recherche d’identité, l’adolescent à tronqué ses cheveux mi-long qui sentaient le laisser aller pour une coiffure plus travaillée. Rasé sur les côtés et le derrière pour laisser ses cheveux libres sur le dessus. A quinze ans, Patrick ne voulait plus ressembler à un adolescent perdu dans sa vie, il voulait ressembler à l’unes de ses idoles, il voulait avoir du charisme, se créer sa propre identité, quelque chose de moins banal et de plus transcendant. A quinze ans, Patrick fut très satisfait du léger agacement de sa mère quant à son nouveau facies et encore plus des réactions enthousiastes de ses camarades au lycée. Depuis, il la porte toujours. Une vieille habitude qu’il n’a pas envie de quitter.
Description des yeux : Noisettes, légèrement en amandes, les yeux de Patrick lui donne un petit air méchant et supérieur qui ne lui déplait pas… Parce qu’il sait pertinemment qu’il n’en est rien. Avec une confiance en soi frôlant la barre des valeurs négatives et une tendance à être plus expressif qu’un expressif peut l’être, Patrick aime l’idée que son visage (et sa coupe de beau-gosse sisi toi-même tu sais) donne l’impression qu’il puisse avoir l’ascendant sur son interlocuteur. Malheureusement pour lui, l’illusion se vautre lamentablement la plus part du temps au bout de deux minutes (Même si il a fait des progrès à ce niveau-là depuis six mois).
Taille : 1m80
Poids : 85 kilos
Description de la silhouette : Plutôt grand, Patrick est un jeune homme satisfait de sa taille. Sans être une montagne de muscle, notre dresseur prend tout de même un soin particulier à l’entretient de son corps. Pour cacher ses démons intérieurs et une personnalité bien plus instable qu’on ne le croit, il fait régulièrement de l’activité physique dans le but de rester en forme et donner forme à ses muscles. Jouer les gros bras de l’intéresse pas de masses, la gonflette, pour être honnête, il trouve ça inutile en plus d’être présomptueux. Par contre, il apprécie la fermeté d’un corps bien entretenu. On ne peut pas dire qu’il soit bien foutu, Patrick n’est pas un canon de beauté non plus. Son visage est large et malgré toute sa garde-robe notre jeune homme n’arrive pas à cacher la façon dont il courbe régulièrement son dos, son reflexe de ne pas regarder les gens dans les yeux ou cette manie qu’il a de se prostré quand on l’envahit un peu trop. Patrick fait de son mieux pour que de son apparence, ressorte une image de jeune-homme plein de vie, plutôt beau-gosse et sûr de lui. Son physique représente une espèce de carapace qui, en réalité, ne trompe plus personne une fois la frontière de l’intimité passé (et quand je parle d’intimité je ne parle pas de sexe. On peut être intime juste en parlant, les enfants… C’est le principe de l’amitié aussi /PAN/). Patrick porte un soin tout particulier à ses tenues, à ce qui le met ou non en valeur. Pour autant, Patrick garde un visage très expressif, dans le sens où tout se lit ou presque dans ses yeux.

Problèmes de santé physique : Aucun pour le moment.
Particularités autres : //

CARACTÈRE
Personnalité : Comme tous les ados qui peuplent le monde sa mère vous dirait que son fils est « Compliqué ». Ce qu’il est important de comprendre, c’est que Patrick intériorise beaucoup et que, comme dit plus haut, il se sert de son apparence physique pour tromper son monde sur ses véritables angoisses. Patrick n’est pas compliqué, il a juste dix-neuf ans.

Patrick est connu pour avoir mauvais caractère, être assez râleur et surtout très rancunier. C’est un problème qu’il tient depuis l’enfance, ça, la rancune. Patrick a eu des départs dans la vie plutôt compliquée. Son arrivée à l’école a été marquée de débuts difficiles coincé entre les moqueries sur son prénom et sa nature hyper sensible qui lui rendait très difficile de contenir ses émotions. Petit il pleurait beaucoup, tout le temps. Les larmes n’ont rien arrangé à son cas et avec un couple parental qui battait de l’aile, le petit Patrick n’a pas su trouver de réelles écoutes à ses souffrances écolières. Le manque de présence de sa mère dans sa vie, l’attitude de ses camarades, tout cela l’a conduit à être revanchard et à avoir une sacrée rancune envers ses camarades et sa sphère familial. Patrick a beaucoup de chose à rapprocher et si le manque de maturité y est pour beaucoup, il se voit généralement dans l’impossibilité de passer au-dessus de ce qui le blesse. Quand il a une dent contre quelqu’un ce n’est pas une petite tisane qui le calmera. Patrick ne sait tout simplement pas passer à autre chose.

On parlait d’immaturité, et c’est un point à soulever. Sur le plan relationnel, il l’est, énormément. Patrick est quelqu’un de très dépendant. C’est un peu paradoxal, parce qu’il n’est pas du genre à rechercher l’amitié d’autrui, mais il se montre d’un naturel très jaloux avec ses proches. Son manque de confiance en lui (le drame de sa vie) fait qu’il doute constamment de lui que ce soit de ses capacités mais aussi de sa personne. Il se met une pression monstrueuse pour tenir parfaitement son rôle de fils, de frère ou même d’ami et le moindre mot de travers, le moindre regard absent de la part d’un proche lui refile des angoisses folles. Il a peur de ne pas être à la hauteur, de se retrouver seul et face à l’inquiétude qui le ronge, Patrick se réfugie dans la dureté et dans la méchanceté. Il peut se montrer particulièrement acerbe et infect quand on le blesse ou l’énerve, il n’est d’ailleurs pas très patient. Par moment même puérile, pour se protéger et se venger (revanchard, souvenez-vous) Patrick pointe-là où ça fait mal. Oh, il le regrette, beaucoup, ensuite. C’est là son gros problème : il veut jouer les fils de **** mais est bien incapable de l’assumer sans se traiter de grosse merde par la suite.

Vous l’aurez compris, Patrick n’est pas quelqu’un de facile à vivre et ses insécurités le rendent plutôt violent dans sa façon de parler ou d’être.  Pourtant c’est quelqu’un de très aimant et qui recherche beaucoup l’affection (et la reconnaissance) de ses pairs. Si Patrick a besoin d’entendre qu’on l’aime et qu’on est fière de lui c’est pour se rassurer, mettre à mal toutes ces idées qui se bousculent dans sa tête. Plutôt généreux, Patrick a du mal à dire non et est plutôt d’un naturel à aider son prochain. Il s’épanoui d’ailleurs beaucoup dans l’association où il travaille. Rendre service, lui a beaucoup apporté d’un point de vu mental. Quand les conditions sont réunies, le jeune-homme fait même preuve de sympathie et d’humour.

Ceci dit, Patrick n’est pas quelqu’un de très bavard sur ses état d’âmes. Il à, pour ainsi dire, beaucoup de mal à communiquer sur ce qu’il ressent. Il intériorise et est incapable d’ouvrir son cœur de façon honnête. Pour cela, il écrit. Il écrit beaucoup. C’est plus qu’une passion l’écriture pour lui, c’est un besoin. Il n’est pas rare de le voir s’excuser par écrit, d’ailleurs. Patrick est un gars old school, il affectionne particulièrement les lettres.

Patrick, c’est un môme, un gamin qui à grandit trop vite, un gamin qui ne sait pas où est sa place et qui veut la trouver. Patrick, c’est un ado qui veut exister aux yeux de ceux qu’il aime et plus particulièrement de sa mère. Il veut rendre fière, il veut briller. Il veut être un fils, un grand frère et un ami dont on peut se vanter. Mais Patrick est instable, immature. Patrick n’a aucune confiance en lui tout en ayant la hargne de réussir. Patrick est maladroit et se protège par le biais de la colère plutôt que par celui de la communication et de l’ouverture.
Goûts/Dégoûts : Il aime : L’écriture – La bière – Hank (futur PNJ lié) -  Son assos - se sentir utile - Peaky Blinders - la science-fiction – les gros pavés - gagner – être félicité - qu’on le trouve attirant – qu’on lui fasse des compliments – les films à l’eau de rose – le calme – les ballades dans la nature – l’escalade – les plats à base de fromage – le sport – se faire des tartines avec tout et n’importe quoi – faire les soldes
Il n’aime pas : L’attitude miss parfaite de sa sœur – l’absence continuelle de sa mère – les gens qui vomissent au bar – les gens incapable de se gérer et qui se rendent malades (lol) – qu’on le prenne de haut – qu’on l’ignore – qu’on l’appelle Patrick – qu’on lui rappel qui est sa mère – qu’on tente de lui tirer les vers du nez – quand il prend conscience d’avoir merdé – le mensonge – les pimbèche superficielles – la gonflette
Objectifs et aspirations :  Vous l’aurez compris, Patrick est en recherche constante d’affection et de reconnaissance mais si il a bien une personne auprès de laquelle il veut exister c’est sa mère : Eléonore Swan, patronne de la compétition. Il veut qu’elle le remarque, qu’elle s’intéresse à lui. Il veut que sa mère existe, même si pour cela leur rapport doit être conflictuels. Il veut un contact, un lien et pour cela il est convaincu qu’il doit s’illustrer en tant que dresseur. Que s’il est aussi doué que sa sœur, que s’il réussit là où tant d’autre ont échoués alors sa mère n’aura plus aucunes raisons de l’ignorer et pourra alors être fière de lui.
Peur(s) : Etre seul, rester l’éternel second, ne pas trouver d’équilibre. Mine de rien, Patrick s’épuise et se lasse très vite de sa situation. Il en souffre et voudrait mettre un terme à sa vie relationnelle borderline.

ALIGNEMENT
Votre personnage a-t-il/elle connu Enola entre 2008 et 2017, sous le joug du Régime, et que pense-t-il de cette époque ? : Il l’a connu, très bien même. Bien qu’encore jeune, il se souvient de l’instabilité, de la peur qui régnait à cette époque. Patrick n’a pas tout de suite compris les tenants et aboutissants de cette époque ni tout ce qui se jouait sous son nez, non. Par contre, il se souvient de la tristesse, de ces moments où l’on annonçait un nouvel attentat aux infos, de ces soirs d’angoisses où, en regardant par la fenêtre de sa chambre il se demandait si un jour on ne viendrait pas les foutres en prison, sa famille et lui, si on ne viendra pas lui faire du mal, a lui aussi.
Que pense-t-il/elle de la manière dont les choses ont évolué, et du nouveau gouvernement ? : Il trouve que les choses ont évoluées pour le mieux. Bien sûr, il est conscient qu’il reste des zones à débat et quelques divergences mais Rome ne s’est pas faites en un jour. Il apprécie le pacifisme ambiant qui règne aujourd’hui en Enola.
Que pense-t-il/elle de la légende de Regigigas ? : c’est une légende sympa, un bon thème pour uns de ces ateliers, en tout cas.
Qu'est-ce que votre personnage pense d'Elixir ? : Il ne voit pas en quoi Elixir serait une mauvaise chose. Il admire beaucoup le travail des Ranger sur la prévention environnementale et tout ce qu’a fait Elixir à la suite de la reconstruction d’Enola. Il aimerait que le groupuscule et la Compétition arrêtent de se tirer des bâtons dans les roues.
Qu'est-ce que votre personnage pense de la Compétition ? : Il y intègre plus par dépit qu’autre chose. C’est le partit de sa mère alors il voit difficilement comment grogner dessus. Cependant il en veut profondément aux gens de la Compétition pour l’absence de sa mère. C’est parce qu’elle aime plus cette stupide cause que ses propres enfants qu’elle est continuellement absente. C’est pour le bien de cette organisation, que lui, souffre. Alors quand il attend un membre de la compét se plaindre il a singulièrement envie de lui cracher dessus.
Qu'est-ce que votre personnage pense des Anarchistes ? : Très sincèrement, il en pense que c’est l’exemple parfait de la communauté qui pourrait apporter beaucoup de bonnes choses à l’île mais qui souffre d’une minorité bruyante qui les font passer pour des intolérants incendiaires. A l’image du mouvement féministe et vegan les extrêmes ouvrent beaucoup trop leurs bouches pour ne rien dire et font juste preuve de la plus véhémentes des intolérances ce qui, en plus de ne pas servir leurs causes (ce qui est très cons), décrédibilise tout une mouvance qui, elle, pourrait apporter beaucoup.

Alignement/Allégeance ? : Compétition
ET VOUS?
PUF/Surnom : Brenda/Emi/Pat
Âge : 21 ans
Disponibilité : Je suis en vacance 8DDDD
Comment avez-vous connu le forum ? : Alors, c’est l’histoire d’un français, d’un arabe et d’un mexicain qui….
Suggestions ? : a kan le discord é la party fanfiction ?
Personnage sur l'avatar : Patrick Olson [Jean Kirschtein – Shingeki No Kyojin (Attack on Titan/L’attaque des titans)
Code : Mangé !
Autre: Vous savez, le pesto c’est vachement bon.
Patrick Olson
Patrick Olson
Compétiteur
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Mar 19 Juin 2018 - 11:37
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Patrick Olson
HISTOIRE


[Patrick étant lié de prêt à Eléonore Swan je vous laisse ici sa fiche, histoire de 8D

PS : je précise aussi que je n'approuve pas spécialement les agissements du perso (c'est un petit con en vrai), j'aime juste beaucoup trop jouer des gens torturés]

C’est l’histoire d’Eléonore et de Steven. C’est l’histoire d’un couple qui s’est aimé, fut-il un temps. C’est l’histoire d’une femme qui a laissé de côté un rêve pour un autre… Et qui a expérimenté ce qu’est que la désillusion. C’est l’histoire d'une fille aimante qui, poussée par son père, n’a vécu que dans un seul but. C’est l’histoire d’une épouse qui, par amour pour son mari, a renoncé à ce but. C’est l’histoire d’une femme qui bafouée dans son honneur et blessée dans son être s’est tournée vers le travail pour se relever. C’est l’histoire d’une mère de deux enfants qui n’était pas sûre d’être prête à élever. C’est l’histoire de cette mère et de son premier né, Patrick, que nous allons vous conter.

De son père, Patrick ne sait rien, si ce n’est qu’il a dû exister un jour parce que sinon il aurait du mal à être là. Il sait que sa mère a aimé un homme, un jour, et que de cet amour sa sœur et lui sont arrivés. Il sait aussi que, visiblement, ça c’est mal fini. Les raisons du divorce ? Il n’en connait aucune. Faut dire que sa mère parle peu et que le sujet « c ki mon papa ? » ne fait pas parti de leur rare topic de conversation. Cependant, le jeune-homme imagine sans grande peine que son père a due, comme lui, en avoir ras la casquette d’avoir un bourreau du travail en guise de femme. Il ne lui en veut pas particulièrement, après tout, comment en vouloir à un fantôme ? A un type dont on ne connaît ni le nom, ni le visage et dont on ne se souvient même plus de la voix ? Sûr que l’absence d’une figure paternelle lui a aussi pesé. Mais bon, sa mère prend pour deux alors ça s’équilibre.

Patrick est donc né un 8 juillet et de ses premiers souvenirs, déjà, il retient une grande maison vide. Peu après la naissance de sa petite sœur, Célia, ses parents divorçaient, son grand-père passait l’arme à gauche et sa mère, elle, s’enfermait dans le boulot. A trois ans, l’enfant ne se souvient de rien. Il ne souvient pas du commencement, de quand et de pourquoi les choses ont aussi mal tournées. Il ne se souvient pas que, déplorant l'absence de sa femme au profil de son travail, Steven Olson, son père, a trouvé refuge dans les bras d'autres. Il ne souvient pas que la découverte de ces infidélités suivit de peu par la mort de son grand-père maternel à totalement détruite sa mère. Il ne se souvient pas des disputes et de la façon fracassante par laquelle le couple que formait sa mère et son père s'est fini, de la façon foudroyante avec laquelle l'homme avait quitté son ancienne vie de famille pour s'en former une autre, ailleurs. Ce dont il se souvient par contre, c’est de son entrée à l’école primaire. Il souvient d’une mère qu’il ne voyait qu’en coup de vent le matin, il se souvient de la hâte d’aller pour la première fois sur les bancs de l’école. Il se souvient de son enthousiasme à l’idée de ne plus être seul, collé entre sa nourrice et sa petite sœur. Il se souvient de son envie de se faire des amis, de cette bulle d’oxygène qui s’offrait à lui. Il se souvient d’avoir passé le portail de l’établissement dans son uniforme flambant neuf tel un conquérant, de la fierté qu’il ressentait en fixant ses souliers tout aussi neuf. Il se souvient être tout aussi fière quand la maîtresse l’appel pour la toute première fois. Il se souvient aussi des rires dans son dos et des commentaires sur son prénom.

- « L’est bizarre ton prénom à toi ! » avait dit un enfant dans la cours de récréation.
- « Oui ! Il est tout bizarre et tout moche ! »
- « Moi, mon grand frère il regarde un vieux dessin-animé et dedans y a une étoile de mer toute rose et moche qui s’appelle comme toi ! »
- « Whouaaaaaaa c’est Patrick l’étoile de mer ! »
- « Ouais ! Patrick l’étoile de mer moche et rose ! »

Il se souvient d’avoir senti la frustration, la honte aussi. Il se souvient avoir fixé ses chaussures en essayant de faire abstraction des rires des enfants autour de lui. Il se souvient avoir senti ce nœud si particulier, un nœud qui ne le quittera plus, lui tordre l’estomac. Il se souvient de sa vision qui se floutait sous l’assaut des larmes. Il souvient d’avoir pleuré, beaucoup pleuré. Il souvient aussi que ce fut sa première erreur, qu’après cette première crise, le jour de la rentrée, son étiquette de pleurnichard ne le quitta plus. On lui fit comprendre que c’était ridicule de pleurer ainsi et il comprit le lendemain que l’école serrait aussi étouffante que l’était la maison.

Il essaya de se plaindre mais ne trouva aucune oreille attentive. Célia, encore bébé, accaparait toute l’attention de la nourrice et sa mère… Sa mère n’était pas là, ne l’écoutait pas. Les rares fois où il veillait pour attendre son retour et lui raconter ce qu’il n’allait pas, sa mère l’envoyait se remettre au lit sans un regard. « Trop occupée », disait-elle « Beaucoup de travail », « Plus tard Patrick, maman a encore du travail. ». Travail, travail et encore travail. Sa mère n’avait que ce mot à la bouche. Il se mit à le haïr, ce mot. Il se passait des choses, dehors, à cette époque. Le Régime, la révolution, les emprisonnements, les attentats. Sans doute sa mère était accaparée par la situation mais à ses yeux d'enfant rien ne justifiait que sa mère se désintéresse de lui au profil d'autre chose.

Il se mit à haïr profondément l’école, aussi. Ses années de primaire furent désastreuses et sa forte sensibilité faisait, qu’enfant, les pleurs étaient son seul moyen de réponse. En arrivant au collège, par contre, Patrick décida de changer du tout au tout. On l’avait traité de pleurnichard, de nullos et il avait bien compris qu’on ne le laisserait pas tranquille en continuant de pleurer. La rancune qu’il gardait des abus dont il avait été victime en primaire lui donnèrent la force et l’envie de ne plus être la cible. Patrick fit donc son possible pour être accepté. Il s’intégra au groupe en relevant les défis qu’on lui proposait, en faisant les 400 coups comme devait le faire un « gars cool » au collège. Il comprit à cette époque aussi que ses manquements aux règles lui apportaient une attention toute particulière. On l’encadrait, le grondait et étrangement il n’en était que plus satisfait. Il existait. Il n’était plus le petit gamin pleurnichard qu’on regardait avec pitié mais pour lequel on ne faisait rien. On prenait du temps pour lui et il n’en était que plus heureux. Il comprit aussi que sa mère ne faisait pas exception à cette règle et qu’elle n’avait jamais été aussi présente dans sa vie que lorsqu’il faisait des bêtises. Ce que Patrick n’avait pas anticipé, par contre, c’est que sa mère finirait par se lasser. Les bêtises ne suffisaient plus, Eléonore n’offrait à son fils qu’un regard déçu et un soupir contraint avant de reprendre son travail. Les mauvaises notes ne la faisaient plus réagir, ses mots dans le carnet non plus. Patrick se sentit désemparé face à ce manque d’attention. Face à cet abandon. Il ne pouvait pas dire qu’il aimait se disputer avec sa mère mais, au moins, ils se parlaient. Il avait l’espoir un peu fou que sa mère s’énerve vraiment et lui dise qu’elle ne voulait pas le voir filer du mauvais coton, parce qu’elle l’aimait, parce qu’elle voulait le mieux pour lui, son fils, son premier enfant. C’est tout ce qu’il attendait, qu’elle lui dise qu’elle l’aimait, qu’elle lui dise ce qu’elle attendait et ce qu’elle voulait pour lui.

Le nouvel éloignement de sa mère le rendit plus amer encore et marqua son entrée au lycée. A l’amertume et la rancune se mêla la jalousie. Dans son malheur il avait espéré que sa petite sœur ressentirait les mêmes choses que lui, qu’ils pourraient se serrer les coudes mais il n’en fut rien. Parfaite, Célia était parfaite. Des bonnes notes en tout, une popularité à toute épreuve, Patrick n’en fut que plus jaloux quand il constata que sa mère avait des contacts plus que positif avec elle. L'année de la fin de ses 14 ans fut marquée par l'arrivée massive de rescapés survivants à la chute du Régime. Encore plus qu'avant, sa mère se montra introuvable à la maison. Trop de travail, trop de chose à réparer, trop de chose à prévoir. Il comprenait qu'on appel sa mère sous tout les fronts mais ne voyait dans sa nouvelle absence qu'une nouvelle excuse de fuir ses responsabilités, ici, chez eux. Il y avait toujours quelque chose et la chute nouvelle du régime n'était rien de plus qu'une nouvelle raison de justifier ses absences.

Il trouva alors refuge dans un journal intime sur lequel il coucha toutes ses pensées. L’expérience fut positive et ce fut le début d’une addiction qui ne le quittera jamais plus. En arrivant au milieu de son année de seconde, Patrick décida de tenter l’approche de sa sœur pour rendre fière sa mère. Il se mit à bûcher, réellement, à remonter ses notes mais si ses professeurs se montraient très satisfaits par son changement de rigueur dans les études sa mère n’y prêta pas attention. A quinze ans, il décida alors une autre tentative pour la faire réagir. Il claqua son argent de poche durement économisé dans une nouvelle garde-robe et un style plus provocateur. Si sa mère désapprouva sur le coup, elle passa rapidement au-dessus de la nouvelle lubie de son fils aîné. Si son changement physique fut un échec sur le plan familial il fut une réussite sur le plan social. Patrick comprit que l’apparence était plus parlante que le savoir-être et changeait du tout au tout l’opinion que pouvait avoir les gens sur vous. Patrick apprécia de n’être plus un cliché d’ados paumé. Plus tard dans l’adolescence il expérimenta ses premières relations amoureuses. Relations amoureuses pour lesquelles il n’avait que peu d’affection. En réalité, son obsession pour exister auprès de sa mère en avait quelqu’un de très maladroit sur le plan social et de très peu enclin à la discussion. Ses petites amies déploraient son manque d’investissement et sa tendance à ne retenir personne. Passé la barre des 18 ans et son diplôme en poche, Patrick finit par devenir colérique avec une forte prédisposition à devenir presque toxique pour lui-même. Il avait travaillé dur pour avoir son bac mais sa mère ne lui accorda même pas un « félicitation » juste un « c’est bien. J’espère que tu as postulé pour la suite. ». Pendant plusieurs mois se fut une guerre totale à la maison. Frustré, Patrick se mit à ressentir un étrange soulagement en rendant la monnaie de sa pièce. Il trouva un réconfort en constatant que sa mère n’était pas insensible et qu’il avait le pouvoir de lui faire du mal comme elle avait pu lui en faire. Cela acheva de détériorer leur lien.

L’écriture, toujours présente dans sa vie, prit une place encore plus importante quand ses études n’eurent aucunes suites. Pour ne pas rester inactif, il chercha un travail, sans succès. Son professeur de Français du lycée, le contacta alors avec le nom d’une association et un poste de bénévole sur lequel il sauta sans regret. Il commença, sous l’égide d’un vieil écrivain, à animer des ateliers d’écriture qui furent très positifs pour lui. Il se sentit un peu mieux, dans un semblant d’élément qui pourrait lui correspondre. C’est au cours d’un de ces ateliers qu’il rencontra Hank, un Barman à la trentaine, son premier véritable ami. Hank avait rêvé d’être poète dans sa jeunesse mais avait dû reprendre l’affaire de son défunt père et, du même coup, abandonner ses rêves. Il prenait pourtant un grand plaisir à écrire et aimait partager ce qu’il faisait. Il trouva Patrick doué et de fil en aiguille leur amitié naquit. Pour la première fois, Patrick parlait. On ne le prenait pas de haut, on ne le regardait pas avec pitié. Hank lui donna de l’attention et surtout du plomb dans la tête. Il lui proposa de venir travailler quelques soirs par semaine dans son bar pour se faire la main et ne pas rester sans source de revenu. Il parla beaucoup de sa mère, de ses relations toxiques, de ce besoin qu’il avait de lui faire mal mais de ces regrets qui le rongeait dès la crise passée. Pendant ces moments de discussion, Patrick réalisa qu’il avait été maladroit, il réalisa qu’il aimait profondément sa mère. Il voulut recoller les morceaux, s’accorder une dernière chance. Il décida de s’inscrire officiellement dans la compétition et de devenir un dresseur dont elle ne pourrait ignorer l’existence.

Pour autant le mal était fait. Après plus de dix ans de rejet, Patrick avait tout à refaire. Sa maladresse, son manque de confiance en lui, son tempérament violent (pas physiquement, ce n’est pas un bagarreur, disons qu’il fait plus dans le style insulte de vieux enculé) lui collait à la peau et la rechute dans ses vieilles habitudes planaient derrière lui. Si Hank le tempérait du mieux qu’il pouvait, s’inscrivant presque dans la vie du jeune homme comme un père il savait que le gros du travail, seul lui pourrait le faire. Qu’il devait grandir dans sa tête sans savoir comment. Qu’à dix-neuf ans, il devait cesser d’être un enfant.
Patrick Olson
Patrick Olson
Compétiteur
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Mar 19 Juin 2018 - 11:37
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Victini
Bon bon bon, tu as bien travaillé sur cette fiche, franchement c'est fâcheux (a)
Non, en vrai rebienvenue à toi ^^ Je suis immensément satisfaite de ton interprétation de ce prédéfini que j'avais laissé plutôt libre au final et que tu as fait tien. Tu fais bien attention de nuancer ton personnage qui peut être «lourd» des fois. En vrai, j'ai dévoré le truc. Tu as fait les modifications que je t'ai demandées, du coup on va passer tout de suite aux choses sérieuses en te validant! Tu connais le chemin, je vais pas me répéter. Par contre tu dois encore faire ton choix parmi cette Sélection pour que le tout soit complété. N'oublie pas de poster à la suite pour nous indiquer que ton choix est fait :)
SÉLECTION

#548 CHLOROBULE
J'ai tenté de choisir un Pokémon exclusivement féminin pour un peu représenter la relation parfois houleuse de Patrick avec sa soeur et sa mère. Finalement, j'ai été charmée par Chlorobule, qui pourrait en plus aider Patrick à renouer avec la part plus vulnérable de lui-même, celle qu'il juge plus faible. Cette petite plante ne demande qu'à grandir et s'épanouir telle la fleur qu'elle devient et notre héros pourrait suivre son exemple en laissant derrière lui ses démons.

#744 ROCABOT
Patrick s'est souvent senti abandonné dans sa vie, que ce soit réel ou non. J'ai eu envie de lui donner un ami fidèle, un avec qui il pourrait construire une relation saine. Qui de mieux qu'un cabot pour remplir ce mandat? En vrai, Patrick a besoin qu'on lui montre qu'on ne va pas le laisser tomber. Peut-être ainsi aurait-il plus confiance en lui et plus confiance aux autres aussi. De plus, le type roche peut représenter du solide pour le dresseur qui s'aventure dans la Compétition et qui en aura bien besoin.

#177 NATU
Pour ce troisième choix, j'ai voulu offrir à Patrick un Pokémon pour le compléter. Natu est un Pokémon sage et réfléchi, qui est très tourné vers l'avenir dont il peut percevoir quelques images. Un Pokémon comme celui-ci pourrait aider Patrick à moins ressasser le passé et s'engager dans l'avenir... Tout en ayant quelqu'un pour refréner son côté un peu trop émotif. Une sorte de guide spirituel si vous voulez, si c'est pas la classe ça!
Victini
Victini
Staff
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Mer 20 Juin 2018 - 2:14
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Patrick Olson
Aaaaaaaaaah que de choix @w@
Après réflexion je vais partir sur Rocabot avec Patrick, j'ai quelques idées bien sympas XDDD

Merci pour la sélection, elle était bien cool **
Patrick Olson
Patrick Olson
Compétiteur
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Mer 20 Juin 2018 - 10:03
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Victini
J'ai... totalement oublié le dé shiney hehe ^^'''

ÉDIT : Bon ben pas shiney!
Victini
Victini
Staff
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Dim 24 Juin 2018 - 23:17
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Regigigas
Le membre 'Victini' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Dé shiney' :
Patrick Olson Dommag11
Regigigas
Regigigas
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https://enola.forumactif.com
Dim 24 Juin 2018 - 23:17
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