Zack est née le 24 mars 2002. Il est le plus jeune d'une fratrie de 4 enfants. Daria - l'ainée -. Carlise - le cadet -, Whitney - la benjamine - et Zachary le petit dernier.

Zack est ce qu'on appelle dans le langage courant " un ravisé ", c'est-à-dire que ses parents l'ont eu sur le tard. Alors que Zack vient à peine de devenir majeur (21 ans aux USA) son frère et ses sœurs approchent déjà - surtout pour la plus vieille - de la quarantaine son père est à la retraite, et sa mère en approche. À ce sujet, c'est Daria qui est actuellement à la tête de l'entreprise familiale. La Miller Compagny. Un complexe agricole où se trouve la ferme de la famille, créer en 1850 après que les Millers aient fui la Grande Famine en Irlande, et la pension familiale, la plus récente addition créer par les grand-parents de Zack.

En tant que plus jeune, Zack est souvent le centre de l'attention, c'est un peu le cliché que l'on connaît tous, chouchoutés, choyer. Un vrai petit prince. Surtout que ses parents à la retraite ont plus de temps pour s'occuper de lui. Et les rares moments où ils ne sont pas disponibles, ce sont ses sœurs et son frère qui ont la lourde tâche de garde la petite prunelle. Zack, c'est celui que ses parents voulaient garder pour leurs vieux jours. Avoir un dernier gamin à s'occuper, pour peut-être retrouver une deuxième jeunesse, sauf que Zack ne l'entend pas de cette oreille et cherche à mettre un coup de pied dans la fourmilière :
- Ses parents pensaient lui donner une éducation, en bonne et du forme, pour qu'il puisse rajouter sa pierre à leur entreprise.
- Une fois son collège terminé. Zack se tourna vers des filières professionnalisantes : électricien - ébéniste - aide-malade.
- Ils voulaient que Zack suive ses cours en internat et rentre le week-end. - Il trouva un petit studio à Méanville pour rester sur place toute la semaine.
- Ses parents menacèrent de lui couper les vivres, en arrêtent de lui verser son argent de poche pour le forcer à rentrer.
- Il prit des petits boulots.

S'il était le petit garçon sage et gentil, courant à travers les prés. Comme un genre de Heidi à l'américaine. La puberté l'a transformé en un homme au tempérament bien trempé, et un peu espiègle. Car entre les plaines luxuriantes de Rotombourg et la jungle de béton de Méanville, il y a un fossé. Et le choc culturel est violent. Lui, qui arrivait en petit prince des collines, se retrouve comme le péquenot de service, une victime. Si chez lui, il est le roi, le voilà en bas de l'échelle sociale. Un changement de statut, renversant qui l'à forcé à mûrir rapidement, et à surtout savoir se protéger, car la loi du plus fort règne aussi au lycée. - surtout entre adolescents.

Même avec ses formations en poche. Zack ne sait toujours pas vers quoi se tourner. Il a appris l'amour de l'élevage par sa famille, à passer le plus clair de son temps enfant à courir entre les wattouats de la ferme de ses parents. CuddleQueen, comme il la nommera plus tard, le pris même en affection. C'était (paix à son âme) l'une des bêtes du bétail de ses parents. Une Wattouat, enceinte aux bords des yeux, qui c'était mis à suivre le petit bipède partout. Cette bête fut la mère de CandyFloss. C'est en l'observant s'occuper de son petit, qu'il apprit à prendre soin des bébés pokémons.

Mais la réalité est bien loin de ce qu'un gamin de 12 ans peu imaginé. l'élevage, c'est aussi séparer une mère de ses petits, voir des dresseurs refuser des œufs et la conséquence que cela apportait aux femelles. Ce sont aussi parfois des accouplements forcés. Si certaines de ses pratiques ne sont plus appliqué à la pension Miller aujourd'hui, ils l'ont été pendant une grande période.

Zack n'a pas non plus le cœur à travaillé à la ferme. Il aime vivre avec les bêtes, ne pas dépendre des horaires, et trainer dans les champs toutes la journée, parfois tondre quelques bêtes, et se lever aux aurores pour nourrir le bétail. Sauf que derrière cette vision idyllique. Il y aussi la comptabilité, le budget, parfois aussi la mort des bêtes à gérer, et les pertes de gains. Le profit, les actionnaires. Des choses, qui lui passent complètement par-dessus la tête.

Approchant de la vingtaine à grand pas et sans aucune idée de son futur, Zack à l'idée de suivre son frère Carlise dans ses voyages d'affaires. Le voilà donc à parcourir le globe, pour avoir peut-être selon ses propres termes "l'illumination qui le guidera vers sa destinée". Malheureusement, non. Nada. Niet. Nothing. La seule chose qui lui plut vraiment fut de visiter son oncle Surge à Kanto. C'est lui qui donna son amour des pokémons électriques. Et le poussa à se spécialisé. C'est lui aussi qui apprit les bases du combat pokémon à son neveu.

Si bien que de retour au pays, Zack n'est pas plus avancé sauf qu'il ait appris à combattre et qu'il aime bien voyager. Sans son frère, ce serais encore mieux. Le voilà donc une carte du monde accroché à mur. Les yeux bandés et une fléchette dans la main. Fléchette qui se planta sur la petite île d'Enola. Et bah voilà ! Sa prochaine destination était prête ! Il y a en plus une compétition pokémon à cet endroit, parfait ! Cela l'occuperait un moment. Et qui sait, peut-être qu'il aura enfin cette "illumination".

En plus, ses parents acceptent son départ ! Cela est une surprise, lui qui s'attendait à un combat de longue haleine avant d'être autorisé à quitter Rotombourg. Bien sûr, il y a quelques demandes à respecter. Mais rien qui n'a faire avec l'entreprise familiale. Ses parents comprennent bien que c'est des vacances, et non un énième voyage d'affaires. Ses parents ont acheté un petit studio sur place à Nuva Eja pour l'aider à démarrer, et ils payeront ses factures pendant les 3 premiers mois, une fois ce délai passé, s'il n'est pas rentrer, il devra subvenir à ses propres besoins. Un moyen détourné de le forcer à rentrer.

Malheureusement pour eux, ils n'ont pas l'air d'avoir compris comment Zack fonctionnait. Plus vous le forcer à rentrer moins il le ferra. Une fois sur place, Zack, c'est débrouiller pour trouver un petit boulot de plongeur dans un restaurant pour se faire une petite cagnotte avant son départ pour le voyage. Il a garder le studio de ses parents, mais ne compte pas vraiment y vivre, préfèrent avoir sa tente et ses affaires sur le dos, pour voyager plus librement. Et si ses parents se rendent compte de la baisse soudaine du prix des factures, ce n'est pas son problème. Toute l'île s'offre à lui, et il ne compte pas rester s'enraciner sur place.