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Des cailloux et d'autres trucs poussiéreux {PV Aëliane
Faust M. Donovan


27 novembre 2022, après-midi (~15h)

En soit, la supervision de chantiers et autres champs de fouilles, c'est d'ordinaire plus l'apanage d'Elixir, qui ne se gêne pas pour s'occuper de la sécurité des plans ruraux, laissant les villes à la Milice. Il faut dire qu'on trouve souvent plus de quoi creuser dans des terres vierges de toute activité humaine intensif que dans des rues bétonnées et moult fois remodelées. Enfin, pas qu'il y connaissait grand chose, en réalité. L'Histoire, l'Archéologie et 'tous ces trucs poussiéreux', c'était davantage le ressort de Clive. Il avait bien tenté de s'y intéresser, hein, car il n'était pas complètement fermé à tout ce qui demandait plus d'une ligne de lecture, mais vous comprendrez que passé les émissions grandiloquentes à la télé vision, les livres étaient autrement plus complexes.  
Cela n'avait pas empêché sa curiosité d'être titillée lorsqu'il avait entendu parler d'un champ de fouilles découvert près de Zazambes, dans une des zones qui avait autrefois été ravagée par les tremblements de terre de 2017. Quelques restes, disait-on, étaient remontés. Des babioles, apparemment, mais ils ne pouvaient décemment pas laisser ça traîner ici, surtout quand les rapaces de l'immobilier surveillait de près l'avancement du projet. Étant de passage pour une sombre histoire administrative qui était aussi passionnante qu'un film de Michael Bay, il s'était dit qu'il ne risquerait rien à faire un tour. Après tout, si il prétextait être de bonne foi, il n'y avait pas de raison que cela se passe mal, non ? Et au pire, il dirait aux curieux qu'il avait bien le droit de faire ce qu'il voulait, quand il n'avait rien d'urgent sur le feu. Bon, d'accord, quelques dossiers traînaient malheureusement sur son bureau, maiiiiis...
J'dirais qu'ils se sont un peu perdus en chemin et que j'les ai eu en retard, ça devrait passer.

L'air un peu penaud, il se balade sur le terrain, se faisant de temps à autre jeter des regards blasés et agacés de la part des pauvres bougres qui ne cherchaient qu'à travailler correctement. Mais tout ça, c'est nouveau, pour lui. Curieux, les yeux grands ouverts, il fait attention à tout ce qu'il voit, et sourit bêtement à chaque fois qu'il repère le moindre petit rien, même quand il s'agit d'un vague morceau de tesson qui, pour lui, a la valeur d'un trésor. Il s'étonne de son enthousiasme, mais c'est presque tout naturel. Alors qu'il enjambe une poutre ou il ne sait trop quoi, il finit par remarquer quelqu'un dont il n'avait pas encore vu le visage, et qui ne l'avait pas encore assassiné des yeux. Peut-être que cela ne durerait pas, mais bon, il pouvait toujours tenter le coup. Hésitant un peu, il tenta un sourire avenant et prit la parole, voulant paraître chaleureux.

« Alors, vous trouvez des trucs ? »

Ok. Bon. On a vu mieux. Mais passons, on sait jamais, sur un malentendu, ça peut passer.
Le conseiller se racla la gorge, tentant d'éviter de penser au fait qu'il venait de sortir quelque chose de tellement banal et sans intérêt qu'il aurait été étonné de recevoir une réponse différente d'un 'oui' ou d'un 'non', et il n'aurait eu que lui-même pour se blâmer. Et embêter des gens en train de travailler, vraiment, ce n'était pas très malin. Il était persuadé que quelques uns des autres miliciens allaient le regarder d'un air mauvais, mais, eh, au moins ils ne le feraient pas en face.
Le Donovan se gratta un peu la nuque et tapota du pied sur le sol nerveusement, cherchant un moyen quelconque de ne pas rendre cette conversation gênante.

« Enfin, je sais pas si vous cherchez des trucs, euhm. Ou ce que vous risquez de trouver. J'ai pas trop compris ce qu'ont dit les autres, à vrai dire. »

Ou alors il avait eu l'intelligence de s'éloigner quand il était accidentellement tombé sur quelque chose d'apparemment très important, ahaha. Mais bon, il valait mieux éviter de le dire à haute voix, n'est-ce pas ? Demander des infos comme ça était un peu informel, mais il devait surveiller cet endroit pendant quelques jours, il n'était pas sûr de sa capacité à supporter sa propre curiosité insatisfaite. Et puis, autant avoir des relations cordiales avec les gens sur le terrain : ça ne mangeait pas de pain.

« Vous voulez bien m'expliquer ? Vot' collègue avait l'air pas très sympathique, ç'pour ça. J'comprends pas trop comment ça marche, tout ça. »

Passer pour un idiot n'était peut-être pas la meilleure tactique pour commencer une conversation, soit. Mais son intérêt était réel, et ça, il n'avait pas envie de le cacher. Encore fallait-il que son interlocutrice réponde positivement à sa sollicitation, et ça, c'était moins assuré.
Faust M. Donovan
Faust M. Donovan
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Dim 26 Nov 2017 - 1:29
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Des cailloux et d'autres trucs poussiéreux (3).
- I'm going back to my roots.

♠. Aëliane Marshall + Des cailloux et d'autres trucs poussiéreux {PV Aëliane 037-a + Des cailloux et d'autres trucs poussiéreux {PV Aëliane 265
ft. Faust M. Donovan .♠


Ils l'avaient envoyée à Zazambes. Concrètement, il n'y avait pas plus éloigné de son domicile que Zazambes et Aëliane avait dû réserver un hôtel la veille pour ne pas avoir à se réveiller à quatre heures du matin pour être à l'heure sur son lieu de travail. Comme s'il n'y avait pas de champs de fouille plus proches, eux qui regorgeaient depuis des années suite aux nombreuses catastrophes qui avaient succédé à la fin du Régime. Mais bon, apparemment cette fouille en valait le coup, même si Aëliane savait pertinemment que la ville voulait surtout s'en débarrasser au plus vite afin de construire par dessus, supprimant encore un peu plus les quelques bribes de nature qui avaient survécu jusque là aux griffes de l'homme. Dans quelques années la jeune femme est persuadée de ne plus avoir de travail, chaque parcelle de terrain disponible recouverte par une maison, un immeuble ou toute autre construction, ne laissant plus aucune chance à la terre et aux plantes de retrouver leur éclat d'antan. Cette pensée l'attriste, car elle ne trouve rien de plus magnifique qu'une étendue sauvage où poussent des herbes aussi grandes qu'un être humain ; qu'un désert de sable où se perd l'horizon. Les hommes le regretteront au final, quand leurs enfants ne connaîtront de la nature que les gazons artificiels et les champs de fleurs retranscris dans les jeux vidéos.

En attendant que cette fatalité ne s'abatte sur la planète, Aëliane enfile ses vêtements réservés aux fouilles poussiéreuses, un style un peu à la Indiana Jones (son idole) en plus féminisé et moins découvert, tout en nuances de marron. Il est encore tôt mais elle entend déjà ses voisins de chambre se préparer eux aussi et le bruit des douches et des pas lui fait maudire les hôtels qui ont des cloisons si fines pour séparer les chambres ; elle a entendu ronfler toute la nuit au moins trois hommes et elle espère sincèrement que la fouille ne durera pas toute la semaine. Elle enferme à contre cœur ses deux pokémons dans leurs pokéballs comme ils ne sont pas autorisés sur le champ de fouille sous leur forme libre et s'apprête à partir, la boule au ventre. Plusieurs autres archéologues seront présents, et comme à chaque fois que la brunette doit faire partie d'une équipe, elle appréhende rencontrer ses collègues. La plupart sont des hommes âgés de la cinquantaine, qui pensent tout savoir, tout connaître et qui prennent de haut toute nouvelle tête qui semble avoir moins de vingt ans d'expérience dans le métier. S'ils trouvent quelque chose, ils s'en attribueront sans hésitation tout le mérite, et Aëliane elle-même a dû se battre pour faire reconnaître ses propres trouvailles. En plus, avec les dernières tensions entre Elixir et la Compétition, les conversations vont de bon train et la jeune femme abhorre par dessus tout cette haine dissimulée et cet élitisme qui ferait croire qu'Elixir vaut mieux que toute autre organisation et serait mieux sans la Compétition. Si seulement elle n'y était pas affiliée parfois, ça irait mieux, mais Aëliane a égoïstement beaucoup trop besoin des ressources financières gracieusement échangées.

La fin du mois de Novembre est particulièrement chaude, même pour Enola. La jeune femme déteste la chaleur et elle espérait que l'arrivée de l'hiver puisse lui accorder un peu de repos, mais le soleil déjà puissant dès le matin lui assure que ce ne sera pas le cas. Prendre sa voiture le matin est un véritable calvaire pour Aëliane qui met un temps fou à s'acclimater à l'espace confiné qui ne garde que trop bien la chaleur étouffante qui règne même la nuit. C'est cependant avec un timing impeccable qu'elle arrive sur les lieux de fouille, aussitôt accueillie par des agents de sécurité pour vérifier son identité, puis briefée par ses supérieurs pour connaître l'étendue exacte des fouilles, ce qui est prioritaire dans la recherche. Il est fort probable que l'entreprise ne dure pas si longtemps au final car Aëliane peut déjà remarquer de nombreux objets déjà récoltés. L'espace de rechercher d'ailleurs est déjà bien entamé, creusé par plusieurs scientifiques persuadés qu'ils vont trouver la perle rare. La jeune femme soupire et se met au travail, ses outils en main et son esprit positionné en mode « concentration » lui permettant ainsi d'occulter toutes les conversations autour et d'éviter les remarques lourdes de ses collègues.

La matinée passe rapidement mais le début d'après-midi est un peu plus long ; après plusieurs heures à creuser et analyser, la fatigue se fait vite ressentir. Les recherches jusqu'alors n'ont pas été très fructueuses, et il n'y a rien de pire pour un archéologue que de ne rien trouver. Aëliane observe avec méfiance un milicien qui se balade sur le champ de fouille en posant des questions à ses collègues. C'est rare de croiser des curieux sur le terrain, encore plus quand ils ont l'air d'avoir moins de cinquante ans. Après avoir essuyé plusieurs réponses négatives et quelques remarques certainement cinglantes, Aëliane se prépare à recevoir elle aussi la visite de l'intéressé et avec amusement elle l'observe du coin de l'oeil se diriger vers elle.

« Vous voulez bien m'expliquer ? Vot' collègue avait l'air pas très sympathique, ç'pour ça. J'comprends pas trop comment ça marche, tout ça. »

Sa façon de parler échappe un sourire à Aëliane, trop habituée aux tons sérieux et arrogants de ses collègues de travail. Le jeune homme - qui de près semble avoir l'air beaucoup plus âgé qu'elle cependant - n'hésite pas à contracter les mots, il ne fait pas non plus preuve d'une formalité maladive dans le milieu des scientifiques. Il n'est l'est peut-être pas d'ailleurs ; malgré son uniforme de milicien, il n'a pas l'air d'avoir de bijoux excentriques ou d'objets à plus de 500 Opals sur lui. Peut-être mérite-t-il une réponse, une information pour satisfaire sa curiosité. Aëliane n'a pas l'habitude de parler à des personnes qui ne connaissent rien à son métier, qui n'ont jamais analysé toutes les subtilités qu'une motte de terre peut retranscrire. Elle se relève de sa position agenouillée et jette sa pelle parterre, essuyant d'un revers de manche une goutte de sueur qui perlait le long de sa tempe à cause du soleil rayonnant.

« Eh bien, je vous avoue, je suis un peu dans le flou moi aussi. Mes collègues ne sont pas plus sympathiques avec moi si ça peut vous rassurer, et Marcos - elle désigne du doigt un vieil homme à la calvitie prononcée - semble tout trouver depuis tout à l'heure. Mais en gros, on recherche des assiettes, des cadres, tout ce qui aurait pu appartenir à un foyer il y a cinq ans de cela. C'est pas vraiment mon meilleur chantier, je préfère largement ce qui touche aux anciennes civilisations... mais c'est aussi intéressant, regardez. Elle ramasse un caillou et le tend au jeune curieux. Vous voyez ce caillou ? Les rayures dessus n'ont rien de biologique, de normal. J'espère pouvoir l'emmener au labo demain pour... »

Puis, gênée d'avoir ainsi parlé, la scientifique s'arrête et se racle la gorge avant de reposer le caillou parterre. Aëliane est facilement emballée lorsqu'elle parle de ses recherches, mais elle est consciente que ça n'intéresse pas toujours tout le monde et elle a l'impression d'avoir été impolie. Elle offre un sourire timide à son interlocuteur et enlève ses gants pour lui tendre la main.

« Enfin... bref. Excusez-moi, j'ai tendance à trop parler. Aëliane Marshall, et vous êtes ? »
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Lun 4 Déc 2017 - 13:56
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Faust M. Donovan

Il a bien conscience qu'il se conduit comme un enfant curieux, avec ses grands yeux ouverts, mais il ne se le permet que rarement ces temps-ci, alors il a du mal à vraiment avoir du regret. En même temps, il allait sûrement terminer sa journée tard ce soir encore, alors si il pouvait trouver un moyen de ne pas passer un trop mauvais moment... Ou peut-être que Faust se cherchait des excuses, effectivement.  Si la jeune femme choisissait de l'ignorer, il trouverait sans doute autre chose.
Néanmoins, heureusement pour lui, et il la remercia par un sourire avenant, un peu maladroit sur les bords, elle accepta. En la laissant se relever, il l'écoute très attentivement, probablement bien trop intéressé, motivé par la perspective de parler d'autre chose que de sécurité ou autre. Une lueur confuse se dessine dans ses pupilles quand son interlocutrice parle d'assiettes, de vieilles choses, tout un tas de petits objets dont il a du mal à saisir l'importance. Des foyers, donc... ? Comme des grandes maisons ? Faust n'a pas assez de souvenirs de ses cours d'histoire pour se rappeler de si ces zones étaient bien habitées, il fut un temps. Mais il trouve ça assez incroyable, de son petit point de vue d'inculte.
Lorsque l'archéologue s'arrête soudainement, comme gêné d'avoir parlé 'trop longtemps', ce qui ne fait pas sens à ses yeux, Faust cligne des yeux. Le Conseiller ne rechigne toutefois pas à lui serrer la main, et il s'exécute joyeusement, plein d'entrain, le visage affichant clairement son plaisir de ne pas avoir été insulté ou vivement repoussé. Les présentations faites, le châtain ne put s'empêcher de s'amuser de sa politesse.

« Nan nan, vous excusez pas, m'dame Marshall. J'écoutais pas grand chose à l'école quand ça parlait d'histoire, et maintenant je le regrette un peu. Vous pouvez me parler du caillou, ça a l'air sympa ! »

Et il était sérieux, même si il n'aurait pas cru que cette phrase pouvait sortir de sa bouche il y a quelques années. L'air stupide, il dodeline un peu de la tête, incapable de rester en place, trépignant presque. Il fait le tour de l'endroit, observant, tout un ensemble de questions lui brûlant les lèvres. Il se rappelle après plusieurs secondes qu'il n'a pas répondu à sa question, probablement encore à l'ouest. Un sourire désolé sur le visage, il se gratte la nuque.

« Ah, oui. Méphisto, du coup. Je passais par là, comme c'est une partie de mes subordonnés qui supervisent la sécurité. Dites-moi si je suis intrusif, hein, le but n'est pas de vous déranger. »

Il fait un signe de la main, l'air de rien, espérant détendre l'atmosphère. En même temps, dans sa tenue de travail, il ne pouvait pas vraiment prétendre être vendeur de glaces... Quoique il aurait sûrement préféré, vu l'intensité du soleil qui leur tapait sur le corps. Il n'était pas très intéressé par le fait de raconter son job, probablement car, aussi utile qu'il se sente, il ne le trouvait pas particulièrement excitant en soit, dans ce genre de moments. Bon, c'était déjà mieux que sortir des chats de mémés des arbres où ils s'étaient bloqués, hein, mais... Ouais, il y avait mieux. Même tenter d'entrer dans la chambre de sa fille un soir de crise d'adolescente aiguë était plus passionnant, justement à cause du risque. Là, c'était... Plat, très plat. Et c'était sans doute pour ça que, bien qu'il soit poli en proposant à la jeune femme de l'envoyer bouler si jamais il la dérangeait, il n'espérait vraiment pas qu'un tel cas se produise. Comme un enfant surexcité, il se mit à déblatérer d'une voix joyeuse, rapidement, des grandes étoiles dans les yeux.

« Donc, vous avez un labo ? Comme dans les films genre ? Et si vous trouvez un foyer, ça va vous aider en quoi ? C'est lié à l'histoire de Reggigas et au Titak, ou ? Nan, parce que je sais que beaucoup de gens s'intéressent à ça, depuis, enfin... Bref, vous voyez. »

Il parle, il parle. Il blablate sans trop regarder ce qu'il fait, comme à son habitude. Évidemment, son adresse est telle qu'il ne peut pas ne pas faire une catastrophe extraordinaire ; le bruit d'un craquement lui parvint aux oreilles lorsqu'il sent une pression contre son pied. Ses yeux s'écarquillent, et son expression se gèle. Il baisse le regard, et il se mettrait presque à suer en comprenant qu'il vient d'écraser quelque chose. Il ne saurait pas le définir d'un coup d'oeil, mais il a assez intelligence pour savoir que c'est généralement assez peu apprécié.
Mais c'est pas vrai ! Le boulet ! Bon sang !
Le Donovan recule brusquement, rendu très nerveux, l'air sincèrement désolé. Il gesticule dans tous les sens, cherchant un moyen de résoudre son erreur. Relevant la tête vers Aëliane, le visage plein de regret, il prit la parole d'un air paniqué.

« Ah, zut, euh ! Pardon ! … Vous pensez que ça se répare avec du scotch, ce truc ? »

Et le pire dans tout ça, c'est qu'il était sérieux. De bonne volonté, malheureusement, mais suffisamment stupide pour croire que ce serait suffisant.
Faust M. Donovan
Faust M. Donovan
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Dim 17 Déc 2017 - 3:24
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