Quoi de neuf sur l'île d'Enola ?

Période en cours
Printemps 2025

~22 - 28° / Températures en hausse et grand soleil !

Intrigues et Events
Intrigue n°3 : « Ferveur »
L'Elu auto-proclamé des Monarchistes fait son entrée ! La Compétition, Elixir et le Gouvernement sont en crise et les Anarchistes demandent la démission du Chef du Conseil.
Mini event n°1 : Panique à Vanawi !
Un blocus Anarchiste est en cours à Vanawi, sous surveillance des forces de l'ordre.

Missions et Défis
Un guide dans les ruines (mission)
Faites découvrir les ruines du Titak !
La comète (défi)
Découvrez un mystérieux astéroïde.

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Into the Storm
Weston Elric
WESTON ELRIC
INFORMATION GÉNÉRALES

Nom : Elric
Prénom : Weston
Surnom : West
Âge : 33 ans (huhu j'suis vieux ;_; )
Date de naissance : 3 décembre 1989
Genre : Masculin
Origine(s) : Enola, et plus précisément Amanil
Date d'arrivée sur l'île d'Enola : Depuis ma naissance
Métier/Occupation/Études : Si je n'ai complété absolument aucune étude, je suis tout de même aujourd'hui le champion dresseur d'Anula. Je suis aussi le président et porte parole de la Maison Weston Elric. Comme quoi!
Lieu de résidence : Anula
Groupe : Compétition
Sous-Groupe : Élites
Rôle : Champion dresseur d'Anula
Pseudonyme : Phantom

FICHE DRESSEUR
Informations
Rôle : Champion dresseur d'Anula
Lien vers le Sac de la version 1 : Ici
Voulez-vous utiliser le dé shiney? : Non

Modifications à votre équipe
Into the Storm  330MS - Libégon ♀ - Maya - Hyper Cutter - Docile
DESCRIPTION DE LA MODIFICATION: Retirer du sac, relâché dans la nature
PREUVE: Voir l'histoire
- Into the Storm  674MS - Pandespiegle ♂ - Dimitri - Poing de fer - Jovial
DESCRIPTION DE LA MODIFICATION: Retirer du sac, relâché dans la nature
PREUVE: Voir l'histoire
- Into the Storm  558 - Crabaraque ♂ - Rodley - Fermeté - Mauvais
DESCRIPTION DE LA MODIFICATION: Retirer du sac, relâché dans la nature
PREUVE: Voir l'histoire


PHYSIQUE
Couleur de peau : Blanche, quoi que tout de même relativement bronzée par le soleil d'Enola
Description des cheveux : Une chevelure blonde, mi-court, souvent en bataille
Description des yeux : Des yeux bleus azur, perçants
Taille : Environ 1 mètre 73 centimètres
Poids : Dur à dire, je n'ai pas vraiment l'habitude de me peser très souvent... Par contre, j'ai une bonne carrure, et un corps raffermit par un entrainement régulier
Description de la silhouette : Je suis bien sculpté. Jogging tous les matins, le tout complété par de la boxe, de la musculation, et un entrainement vigoureux avec mes Pokémon, il n'y a probablement pas une once de gras sur mon corps, sans pour autant être un tas de muscle. En toute honnêteté, je pense savoir doser le tout pour avoir une belle forme sans exagération.

Problèmes de santé physique : Aucun
Particularités autres : Mon corps porte encore les marques du passage du Régime. Mon épaule porte la marque d'une balle reçue lors de la rafle de janvier 2014. Et mon dos, quant à lui, porte le souvenir de la marche de 2015, sous la forme d'une longue cicatrice le traversant de bord en bord.

CARACTÈRE
Personnalité :Méfiant - Pessimiste - impatient – impulsif - jaloux - manipulateur - faible estime de soi - rancunier - tendances dépressives - dépendant - sait s'amuser - farceur - tendre - courageux - prêt à tout pour ceux qu'il aime - hyper actif - carbure aux sensations fortes
Goûts/Dégoûts : J'aime m’entraîner plus que tout. Chaque jour, plusieurs heures par jour. Que ce soit seul ou avec mes Pokémon, avec des amis, avec mes enfants. Quand je bouge, tous les tracas de la vie disparaissent l'espace d'un instant. Peut-être que ceci explique aussi mon amour inconditionnel pour les combats Pokémon. Alors que l'adrénaline bat son plein, sur le terrain, je me sens dans mon élément.

Je suis un passionné de la conduite. Que ce soit ma bien-aimée Kawazaki noire, une voiture, ou n'importe quoi avec des roues, je pourrais passer des heures à défiler dans les rues d'Enola, sans respecter les limites de vitesses.

Bien sûr, j'apprécie aussi des activités un peu plus calmes. J'aime le cinéma, même si, avec deux enfants, la majorité des films que je regarde sont ceux destinés aux plus jeunes. J'aime aussi les jeux vidéo, la tv, et aussi difficile à le croire que ce soit, la cuisine! Eh oui, j'ai beau être un pied lorsqu'il est temps de suivre une recette, j'aime toujours l'expérience.

En ce qui concerne ce que je n'aime pas, la liste est nombreuse. Plus que tout, je déteste qu'on attaque ma personne. Aussitôt menacé, je riposte. Je n'aime pas qu'on me contredise, qu'on me pointe mes fautes, qu'on se moque de moi, ou qu'on me coupe quand je parle. Je n'aime pas la solitude non plus.

J'ai aussi un dédain particulier pour les math, et à peu près tout ce qui touche à l'école.
Objectifs et aspirations :Honnêtement, après toutes les aventures que ma vie m'a offert, j'aspire simplement à vivre une vie paisible. Je veux voir mes enfants grandir dans un monde sécuritaire, et pouvoir assurer leur avenir, autant du côté financier qu'émotionnel. Je veux être là pour eux, et pas juste physiquement. Alors, je tente de travailler sur moi-même, pour un jour tenter de devenir un homme bien dans sa tête.
Peur(s) : Chaque jour, chaque nuit, j'ai ces mêmes peurs qui me hantent. Des peurs qui peuvent parfois me paralyser durant des heures, au beau milieu de la nuit. Mes peurs sont au nombre de quatre.

La première, c'est qu'on m'enlève mes enfants. Je suis terrifié à l'idée que quelqu'un, quelque part, puisse m'arracher ma chair et mon sang. Que quelqu'un puisse faire du mal à la prunelle de mes yeux. Qu'un jour, je me réveille, et qu'ils ne soient plus là.

La seconde, c'est que ceux-ci ne m'aiment plus. Qu'ils me voient comme le monstre que je crains toujours de voir lorsque je m'observe dans le mirroir. Que je ne sois plus leur héro, mais bien la bête.

La troisième est que je crains d'un jour retomber dans mes vices passés. La drogue, l'alcool, les femmes en brochettes... Tout ceci a beau être du passé, je sens parfois la menace de rechute lourde.

Et la dernière, c'est de me retrouver seul. De chasser tous ceux qui acceptent encore de m'approcher. Je suis terrifié à l'idée que, à force de tout faire pour rejeter ceux que j'aime, je finisse par ne plus avoir personne.  

ALIGNEMENT
Votre personnage a-t-il/elle connu Enola entre 2008 et 2017, sous le joug du Régime, et que pense-t-il de cette époque ? : J'ai connu le Régime. Dès les débuts de son entrée en jeu, ce mouvement ne m'a inspiré que méfiance. Pourtant, j'ai fait le choix de ne pas me mêler de ce qui était plus gros que moi. J'ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour rester neutre dans ce conflit. Pourtant, malgré mes efforts, je n'ai pas eu le choix de m'y frotter, de par les activités illicites de mon épouse, œuvrant au sein de la Résistance. Alors, comme bien des gens, j'ai moi aussi souffert à leur contact.
Que pense-t-il/elle de la manière dont les choses ont évolué, et du nouveau gouvernement ? : Je suis soulagé de voir un nouveau gouvernement en place, qui, cette fois, ne semble pas rechercher le contrôle total et la violence. Je veux voir mes enfants grandir dans un monde sécuritaire, et j'espère que ce nouveau gouvernement pourra leur permettre cela. Mais après tout ce qui s'est passé sur cette île, j'attends tout de même que ce nouveau groupe de dirigeants fasse ses preuves avant de lui offrir une confiance aveugle.
Que pense-t-il/elle de la légende de Regigigas ? : Ce sont des histoires pour endormir les enfants. Il n'y a rien de tel qu'un élu, un roi divin venu pour mener Enola.

Qu'est-ce que votre personnage pense d'Elixir ? : Pour l'instant, pas grand-chose, hormis peut-être une certaine méfiance. Ces belles paroles de reconstruction d'Enola, et leur penchant pour l'Emerglya ne me rappelle que trop bien le Régime pour que je puisse réellement leur faire confiance.
Qu'est-ce que votre personnage pense de la Compétition ? : La Compétition, c'est ma vie. C'est ce qui m'a sauvé de l'autodestruction. Alors, oui, j'y crois. C'est la seule chose à laquelle je sais que je peux toujours me rattacher.
Qu'est-ce que votre personnage pense des Anarchistes ? : Un autre groupe d’extrémistes portant un rêve que, honnêtement, je ne comprends pas vraiment. Pour être franc, je n'ai pas non plus tenté de le comprendre. Et ce temps, je ne le prendrai pas. Tout groupe cherchant à défaire l'ordre déjà fragile ne mérite pas d'être écouté.

Alignement/Allégeance ? : Compétition
ET VOUS?
PUF/Surnom :Meta, ou MENEH pour les intimes
Âge : 24
Disponibilité : Le plus souvent possible, quoi que ce n'est justement pas toujours possible... Ah, la vie d'adulte...
Comment avez-vous connu le forum ? : Survivante de la V1 :derp:
Suggestions ? : C'tout beau ici déjà  :love:
Personnage sur l'avatar : Volkner [Pokémon]
Code : Mangé par le dada.
Autre: Pouet Pouet Mobile
Weston Elric
Weston Elric
Elite
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Lun 13 Nov 2017 - 7:29
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Weston Elric
CHRONOLOGIE

Chapitre 1 : Le début de la fin

Je suis né un soir de décembre. Deuxième enfant de Carole et Daniel Elric. Premier fils. Héritier légitime de la familiale. Porteur du nom qu’ont fait vivre à travers le temps mon père, son père, et son père avant lui. Et bien que la famille Elric ne fût ni particulièrement influente, ou même particulièrement bien nantie, ses membres de sexe masculin en ont toujours été fiers. Alors la naissance d’un garçon, pour mon père et ma mère, était le plus beau cadeau qu’on aurait pu leur faire. Bien sûr, cette préférence pour un héritier mâle ne les a jamais empêcher d’aimer ma sœur, Noémie, de quelques années mon ainée. Ma sœur et moi avons ainsi été élevés dans l’égalité, l’amour et le bonheur.

Les années se sont ainsi succédées. Noémie a commencé l’école, et éventuellement, j’ai pu la suivre. J’étais à l’époque très proche de ma sœur. Elle était ma protectrice, mon institutrice, ma designer personnelle, ma guide spirituelle. Et qui sait, peut-être que si les choses avaient été différentes, ce serait toujours le cas. Mais la vie en avait de toute évidence décidé autrement pour moi. Car ce petit ange que mes parents se plaisaient à présenter à leurs proche avec fierté, était malade. Très malade. Si malade, et pourtant, personne ne pouvait le voir. Car ce n’était pas une maladie qu’on aurait pu traiter avec des vaccins. Ce petit garçon aux grands yeux bleus et aux cheveux d’or, était malade de l’esprit. Perverti, sans que personne ne le sache. Et ça, ce fut le début de la fin.

J’avais quatorze ans. J’étais encore si jeune, si ignorant, et pourtant, j’avais déjà fait mon choix. Un choix qui allait, sans que je ne m’en rende compte, me couter tout ce que j’avais. Je savais déjà être malade, et pourtant, j’avais choisi de poursuivre cette voie pervertie. J’avais décidé, du haut de mes quatorze ans, qu’il était acceptable de devenir un monstre. Alors je n’ai rien fait pour m’en empêcher. J’ai suivi mes pulsions. J’ai choisi le chemin facile. Sournois, une nuit, je me suis glissé sous mon lit, comme j’en avais l’habitude. J’ai rampé, sans un bruit, jusqu’au petit trou que j’avais moi-même creusé contre le mur, à force des expéditions. À son habitude, Noémie était là. Et à son habitude, elle se préparait à enfiler son pyjama. Je savais très bien que ce que je faisais, ce n’était pas normal. Et c’était mal. Pourtant, je ne pouvais m’en empêcher. Chaque soir c’était ainsi. Mais ce soir-là, ce soir de mes quatorze ans, les choses ont mal tournées pour moi. Car ce qui devait bien arriver un jour arriva. Je me suis fait prendre.

Ce soir là, je m’en souviendrai toute ma vie. Ce fut le dernier jour de mon enfance. Ce soir-là, j’ai brisé quelque chose dans cette famille. Et j’ai rapidement compris que les choses ne seraient plus jamais comme avant. J’ai cessé d’être le fils de mon père. J’ai cessé d’être le frère de ma sœur. J’ai cessé d’être le trésor de ma mère. Ce soir-là, je suis devenu le monstre.

Chapitre 2 : Le monstre

J’ai passé les mois qui ont suivi cet évènement à tenter de me racheter. À tenter de faire comprendre à mes parents que je ne l’avais pas fait exprès. Que j’étais malade. Malade d’une maladie qui ne s’observe pas au microscope. D’une maladie me rongeant de l’intérieur. Et pourtant, il n’y avait rien à faire. Si ma mère s’est lassée gagner par la pitié, et qu’elle a, à maintes reprises, tenté de calmé la fureur et le dégout de mon père, elle n’y est jamais parvenue. Au final, elle n’était que cette femme presque muette, chuchotant à l’oreille de son mari tout ce qu’elle trouvait comme excuse pour me permettre de rester en vie, sans jamais pouvoir réellement rétablir ce qui n’existait plus au sein de sa famille. Alors, devant l’impuissance de ma mère, et la haine de mon père et de ma sœur, j’ai cessé d’essayer. Je me suis rendu à l’évidence. J’étais un monstre. Alors, aussi bien vivre en monstre.

À quinze ans, j’ai fais ma première fugue. La première d’une longue série. C’est lors de cette fugue que j’ai rencontré mon tout premier Pokémon. Un petit Statitik. Comme deux âmes perdues, j’imagine, nous avons passé la nuit ensemble, sur un banc de parc, avant de décider de ne puis jamais se séparer.

J’ai aussi commencé à expérimenter avec tout ce qui me tombait sur la main. Les filles, l’alcool, les cigarettes... Et puis, à mesure que les années passaient, j’avais toujours ce sentiment, grandissant de plus en plus. Ce sentiment de manque, qu’il me fallait combler à tout prix. Et lorsque les combats, l’automutilation, l’herbe, le sexe et l’alcool ont cessé de me suffire, je me suis tourné vers encore plus de sensations. À dix-sept ans, j’ai fais ma première ligne de poudre. Et c’est aussi cette nuit-là que j’ai fait ma première tentative de suicide. Et cette nuit-là, complètement défoncé, lorsque la corde que j’avais sélectionnée pour me pendre a cédée sous mon poids, j’ai réalisé qu’il me fallait partir. Qu’il me fallait me bâtir une nouvelle vie. C’était la seule manière que j’avais trouvé de me donner une chance de survivre. C’est ainsi que, sur un coup de tête, sans même l’annoncer à qui que ce soit qui m’adressait encore la parole, j’ai quitté Amanil, et avec elle, mon ancienne vie.

J’ai passé les années qui ont suivi à me promener d’un endroit à l’autre, sans jamais me permettre de réellement me poser quelque part. Enchainant les petits boulots et déménageant tantôt chez un ami ou une connaissance, dormant tantôt dans la rue. Cette période, à vrai dire, je ne m’en rappelle que très peu. Je consommais tous les soirs, je buvais comme un ivrogne, et je couchais avec tout ce qui avait deux seins. J’étais la débauche. J’étais le monstre, et je vivais mon identité à fond. Sans remord, sans regret. J’étais le monstre, et rien n’allait m’en empêcher.

J’ai du vivre ainsi de quelques mois à quelques années, je n’en suis pas certain. Une nouvelle fois, je m’étais retrouvé au pied du mur. Sans le sous, sans amis, sans amour. J’étais le monstre mal-aimé. Et une fois de plus, j’ai tenté de mettre fin à mes jours. Je m’étais juré que cette fois, ce serait la bonne. Pourtant, je me suis réveillé contre toute attente, le lendemain, avec un terrible mal de tête, baignant dans mon propre vomi. Une nouvelle fois, j’ai décidé de changer de vie.

Chapitre 3 : Nouveau départ

De nouveau, je savais que si je ne changeais rien à ma vie, j’allais mourir. Alors, j’ai fait ce que tout type de vingt-deux ans avec trop de testostérone dans le corps aurait fait. Je me suis lancé à la conquête de la Compétition d’Enola. Ayant capturé quelques Pokémon au cour de mes voyages entre les différentes villes de l’île, j’ai pu remporter les badges les uns après les autres. Je m’étais découvert une possibilité de revivre. Les combats, l’adrénaline qu’ils m’apportaient, l’ambiance de la vie de la compétition. Tout ceci me plaisait. Alors je me suis frayé un chemin jusqu’à Anula. Là, j’y ai découvert un nouveau départ.

Le champion de l’époque était un vieil homme assez mystérieux. Un homme qui, dès notre première rencontre, m’est apparut telle une figure paternelle. Et j’ignore s’il s’agissait de pitié en apercevant mon visage amaigri par la malnutrition et la drogue, ou si l’homme a perçu un réel potentiel chez moi, mais dans tous les cas, il m’a pris sous son aile. M’offrant un maigre salaire et un endroit où dormir, je suis devenu son homme à tout faire de jour, et son apprenti de soir, lorsque l’arène fermait ses portes. À ses côtés, j’ai appris à maîtriser le potentiel des Pokémon de type insectes, pour lesquels j’avais déjà un faible. De jour en jour, je devenais plus fort, jusqu’au jour où, enfin, mon maître avait terminé de m’apprendre ce qu’il savait.

Ce jour là, l’homme m’a légué non seulement son champion, un Crabaraque nommé Rodley, mais aussi, avec ce dernier, tous les pouvoirs du champion de l’arène d’Anula. Une nouvelle vie débutait ainsi pour moi. Le monstre était devenu quelqu’un. Quelqu’un d’aimé. J’étais devenu Phantom. J’étais le valeureux guerrier. J’étais l’homme de l’heure. Je faisais la couverture des magazines. J’étais quelqu’un.

Ce nouveau succès est venu avec de nouvelles possibilités financières, et avec celles-ci, une plus grande liberté pour laisser libre court à mes vices. Bien rapidement, les rumeurs se sont mises à courir au sein de l’île concernant un jeune champion noyé par la débauche. Mais si cette même débauche m’avais jusqu’ici causé que du tord, cette fois, la réaction était toute autre. Cette fois, ces rumeurs faisaient vendre. Les gens venaient me voir, les gens achetaient les revues affichant mon visage, les gens voulaient me combattre, me voir en chair et en os. Et moi, je me suis laissé emporter dans cette nouvelle vague de débauche. L’alcool, la drogue, le sexe, les combats. J’avais tout. Et cette vie me plaisait. C’était simple. C’était ce que je voulais. Jusqu’au jour où je l’ai rencontré.

Chapitre 4 : Cette fille à la chevelure rose

Le jour où nos regards se sont croisés, ma vie s’est bouleversée. Les promesses de ne jamais s’attacher, de ne jamais rendre ça compliqué, tout ça, c’était de la merde. Avec Mercedes, ce n’était pas comme avec toutes ces autres filles, qui étaient rentrées et sorties de ma vie. Elle avait ce petit quelque chose qui m’a poussé à toujours vouloir plus. Rapidement, nous sommes devenus inséparables. Et bien entendu, ça a compliqué les choses.

Lorsque nous avons décidé de vivre pleinement ce qu’aucun de nous n’était prêt à faire, je me suis lancé dans un tas de promesses. Des promesses que, bien entendu, je n’étais pas en mesure de tenir. Pour elle, j’ai voulu devenir meilleur. Pour elle, j’ai voulu changer. Alors j’ai promis d’arrêter la drogue. J’ai promis de retourner à l’école. J’ai promis de devenir un homme respectable. Pourtant, je savais très bien que toutes ces promesses, elles étaient là pour être brisées.

J’ai enchainé les erreurs, tout comme elle d’ailleurs, et pourtant, nous nous aimions, et c’était tout ce qui comptait. Nous avions pris pour habitude de nous briser le cœur à répétition, et pourtant, à ses côtés, jamais je n’aurai été aussi heureux. Mes échecs, mes erreurs, tout ceci était secondaire à ses côtés. Avec elle, la vie afin enfin du goût. Un goût certes parfois amer, mais un goût quand-même.

La vie à ses côtés n’a jamais été reposante. Nos chicanes, nos réconciliations. Une danse incessante entre l’amour et la haine. Et pourtant, ça n’a pas été assez pour nous éloigner l’un de l’autre. Peu importe les épreuves, Mercy et moi nous sommes promis l’éternité. Malgré la douleur que nous avions comme habitude de nous infliger mutuellement, malgré nos promesses brisées, j’en ai fait ma femme. Malgré nos différences. Malgré nos démons. Malgré nos divergences d’opinion. Malgré tous les signes que l’univers nous envoyait, nous avons fait ce serment sacré. Jusqu’à ce que la mort nous sépare.

Mercedes et moi avions déjà vaguement parlé d’enfants, pour au final décider de ne pas en avoir. C’était bien l’une des seules choses sur laquelle nous ne nous étions jamais chicané. Et pourtant, la vie en avait décidé autrement. Mon fils avait trois ans et demi lorsqu’il est entré dans ma vie. Produit d’un amour d’un soir entre un champion bourré et une admiratrice complètement amoureuse, ce petit garçon absolument parfait est venu au monde à mon insu. Aussi rapidement qu’elle est arrivée, la mère du petit a disparue après m’avoir confié notre enfant, pour ne plus jamais revenir. Ce n’est que plus tard que Mercedes a découvert que celle-ci s’était suicidée. Nous n’avons jamais eu connaissances des raisons qui l’ont poussées vers ce choix, mais peu importait, car au final, le résultat était le même : j’étais devenu père d’un petit garçon que je ne connaissais pas.

Nos débuts ont été difficiles. Bien qu’aujourd’hui, cette simple idée me dégoûte au plus haut point, j’ai tenté de rejeter le petit au début. Je n’en voulais pas. Je ne voulais pas être père, et encore moins d’une femme que je ne connaissais même pas. Pourtant, avec le soutien de ma femme, je suis devenu ce qu’on attendait de moi. Il m’a fallu un peu de temps, mais j’ai fini par m’attacher au petit Benjamin. Mercy, Ben et moi sommes devenu une véritable famille. Et si tout ceci pouvait sembler simple et magnifique, cette nouvelle réalité a entrainé avec elle de nouvelles complications.

Quelques années plus tôt, alors que j’avais appris la véritable identité de mon amoureuse, ainsi que son implication au sein de la Résistance, bien que ce rôle ne me plaisait pas vraiment, j’avais accepté ses choix de vie. Mais avec la venue de Ben dans notre vie, les choses ont changées. Car ce n’était plus que nous deux qu’elle mettait en danger. Maintenant qu’une petite vie innocente s’était ajouté à notre famille, il était devenu hors de question que les activités illicites de la rose ne vienne nous menacer. Alors elle m’avait promis. Elle avait promis de ne jamais mettre ce fils qui était autant le mien que le sien en danger. Mais cette promesse, elle n’a pas pu la tenir.

Chapitre 5 : Survivre

Mercedes n’a pas tenue ses promesses. De par son implication dans la Résistance, elle a finit par attirer le danger au sein de notre famille. Par chance, Ben et moi n’étions pas à la maison lorsqu’un homme du Régime est entré chez nous afin d’y répandre le sang. Pourtant, cette nuit où j’ai appris ce qui s’était passé, mon choix était fait. Mercy et moi, ce n’était plus possible. Pas dans ces conditions là. Il était trop tard. Alors, ce soir là, j’ai pris la décision la plus difficile de ma vie.

Notre séparation s’est faite à notre image : dans les cries, dans la douleur. Ce soir là aurait sans doute été la dernière fois où nous nous serions vu, si je n’avais pas appris, quelques temps plus tard, que la rose portait ma fille. Cette fois, il était hors de question qu’on m’arrache cet enfant comme on m’avait arraché mon fils, plusieurs années plus tôt. Et bien que la jeune femme ait refusé tout contact avec moi durant sa grossesse, nos chemins se sont recroisés ce fameux 29 août 2017. Ce même jour où est née Lexie, ma petite fille.

HISTOIRE
Le 29 août 2017, le Régime est tombé. La dictature nous ayant persécutée durant  neuf longues années s’est effondrée. Et si, pour de nombreux résidents de l’île, cela signifiait enfin la liberté, et le retour à une vie simple et agréable, ce ne fut pas mon cas. Alors que la majorité des Enolians étaient occupés à reconstruire leur vie et leurs villes, moi, j’avais peur. Peur que cette petite fille absolument parfaite qui venait de naître devant mes yeux ne me soit arrachée. Peur que sa mère, comme la mère de mon fils, ne me permette pas d’être dans sa vie. Peur que l’histoire se reproduise. Alors, comme je savais si bien le faire, je lui ai fait violence. Les semaines qui ont suivi la naissance de Lexie, je les ai passé en cours, à me battre avec tout ce que j’avais. À me battre pour ma fille. Pour avoir le droit d’être son père.

Durant ces semaines, qui m’ont semblées durer une éternité, je n’étais plus moi-même. Si j’avais déjà perdu mon sourire suite à ma séparation, cette fois, je perdais tout ce qui me restait d’humanité. Durant cette période, Benjie m’a à de nombreuses reprises reflété à quel point il ne me reconnaissait pas. Certains de mes Pokémon ont aussi choisi de cesser de me suivre, ne me voyant plus comme leur dresseur. J’ai donc dû dire au revoir à ma Lybégon et mon Pandespiègle. Malgré tout, il m’était impensable de m’arrêter avant de faire reconnaitre mes droits parentaux. Au final, un juge a décidé de nous offrir une garde partagée. Ce n’était pas la garde complète que j’avais demandé, mais au moins, je pouvais voir ma fille.

Les débuts de ce nouveau mode de vie ont été difficiles. À chaque fois que Lexie passait le cadre de la porte pour ne revenir qu’une semaine plus tard, j’étais terrifié. J’avais peur que la rose décide de ne pas la ramener. Qu’elle fui, comme elle savait si bien le faire. Qu’elle disparaisse dans la nature, comme elle l’avait fait après notre séparation, pour ne plus jamais donner de nouvelles. Et pourtant, ce ne fut jamais le cas. Mercy était toujours là, à l’heure, pour me rendre la petite.

Petit à petit, nous avons appris à recommencer à communiquer. Nos rapports étaient de moins en moins teintés par nos expériences passées. Nous étions civiles, l’un envers l’autre. À vrai dire, nous étions même presque plus que ça. Nous étions capables d’avoir des conversations, et même parfois de se sourire. Les choses n’étaient bien sûr plus pareilles qu’avant, et pourtant, la revoir recommençait à me faire du bien. À cette époque, j’ai recommencé à rêver à une réconciliation. J’ai recommencé à espérer. Et pourtant, j’ai rapidement compris que ce ne serait pas possible.

Si les choses allaient plutôt bien, et que je croyais que la rose, tout comme moi, cherchait à emprunter le chemin de la guérison, son état s’est rapidement détérioré. De plus en plus, Mercy n’était pas au rendez-vous, lorsqu’il était temps de récupérer Lexie, nous faisant ainsi attendre parfois des heures, avant que je comprenne qu’elle ne viendrait pas. Et après six mois de vie, la petite fille est tombée à ma garde complète. Mercy a pris la décision de se dénoncer. De se livrer aux autorités pour les crimes commis lors de sa carrière de Résistante. Et si, dans les débuts, j’ai été fière de la voir répondre à ses actes, j’ai rapidement réalisé dans quoi elle m’avait embarqué sans mon consentement. Du jour au lendemain, je me suis retrouvé en tant que père célibataire, portant à moi seul le fardeau de deux enfants, l’un ayant le cœur brisé de voir disparaitre à jamais celle qu’il aimait toujours comme sa mère, et l’autre, trop petite pour devoir vivre dans une telle situation.

Bien sûr, j’aimais mes enfants. Et m’en occuper n’a jamais été une plaie. Mais être seul à le faire était de plus en plus lourd. Le changement de routine a provoqué des crises, autant chez Lexie que chez Benjie. Je me suis retrouvé à passer des nuits blanches à bercer l’un ou l’autre. À tenter d’expliquer à mon fils que non, ce n’était pas sa faute si nous étions dans cette situation. À calmer des enfants en pleurs. Et tout ça, j’étais seul à le faire. Bien sûr, durant la journée, je pouvais compter sur John, Maxwell, Brandon, ou d’autres proches pour m’offrir un répit l’espace de quelques heures, mais au final, lorsque la nuit tombait, je me retrouvais seul avec eux. Alors, sans même m’en rendre compte, j’ai recommencé à en vouloir à Mercy. Je lui en voulais d’avoir fait ces choix égoïstes qui l’avaient conduite derrière les barreaux. Petit à petit, je me sentais à mon tour sombrer. Petit à petit, je me demandais si j’allais y arriver. Le désir de retomber dans la consommation commençait à se faire de plus en plus lourd. Là, je savais que je pouvais toujours retrouver un répit. Qu’en retournant vers ce qui avait failli me tuer quelques années plus tôt, je pourrais oublier, l’espace d’un moment.

Pourtant, je savais que ce n’était pas une option. Alors, aussi difficile que ce soit, j’ai tenu bon. Je me suis forcé à sourire devant mes enfants. Je me suis forcé à être présentable, lorsque Lexie et moi visitions sa mère. Et je me suis forcé de continuer. Je suis retourné en thérapie, j’ai suivi la médication à la lettre, en gardant toujours en vue cet objectif : passer à travers. Je me suis efforcé de croire qu’un jour, les choses seraient plus faciles. Et cette force, elle m’a permise de survivre. Petit à petit, les choses se sont replacées. Petit à petit, j’ai pu reprendre les reines de ma vie.

Alors que les années ont passées, j’ai appris à manier ma routine. Les villes étaient sur la voie de la reconstruction, notre petite famille a pu retourner vivre à Anula, et j’en enfin pu retrouver l’espoir d’un jour reprendre les combats en tant que Champion de la ville. Après plusieurs déménagements autour de l’île, nous nous sommes installés dans une maison en bordure de la ville. Tout me semblait enfin fonctionner. J’ai même recommencé à rencontrer des femmes, après plusieurs années d’abstinence. La plupart de mes relations ne duraient que de quelques semaines à quelques mois, mais le peu d’amour que je pouvais en tirer me faisait du bien. Mais je savais bien que je ne pouvais pas me lancer dans de véritables relations tant qu’un détail n’était pas réglé.

Mercedes et moi, c’était fini depuis un bon moment déjà. Et pourtant, jamais je n’avais été capable de mettre fin à notre mariage de manière légale. Ce n’est qu’en 2020 que je me suis décidé à mettre fin à notre union. Envoyé les papiers a été pour moi un coup violent. Peu importe ce que nous avions vécu, je savais très bien que je l’aimais encore. Et en demandant le divorce, c’était comme d’avouer qu’elle et moi, c’était terminé à jamais. Mais je savais aussi que si je ne le faisais pas, il m’était impossible d’avancer d’avantages. Alors, aussi difficile que ce soit, je l’ai fait. J’ai demandé le divorce. Et lorsque celui-ci a été prononcé, si j’ai ressenti un grand vide, j’ai aussi ressenti une grande liberté. J’étais enfin libéré d’un lourd poids que je portais depuis plusieurs années déjà. C’était la fin d’une époque, et le début d’une autre.

J’avais trente et un ans, j’étais divorcé, et j’étais père de deux enfants à temps plein. Il me fallait un nouveau projet. La Compétition m’avait contacté pour m’offrir de renouveler mon contrat de Champion lors de la réouverture de l’arène, mais cela n’allait se faire que dans quelques mois, voir quelques années, selon leurs dires. J’avais besoin de bouger, et ma petite vie bien posée n’était plus suffisante pour me faire avancer. Je me sentais perdre patience. Il me fallait faire quelque chose de ma peau. Alors, pour une fois dans ma vie, j’ai utilisé mon énergie pour faire quelque chose de constructif. Avec l’aide de mon équipe traitante, qui m’avait suivi depuis mes tous débuts, j’ai lancé l’idée de la Maison Weston Elric. L’idée était simple : offrir aux hommes aux prises avec des problématiques de santé mentale ou de consommation une aide. C’était, pour moi, une manière de permettre à ces hommes de ne pas suivre mes pas. D’être mieux équipés que j’avais pu l’être. De ne pas risquer leur vie. De ne pas tenter de se l’arracher.

Alors, après un long travail, la Maison a vu le jour. Un vieux hangar ayant autrefois accueilli des rencontres de Résistants, selon les dires, se voyait attribué une nouvelle fonction. Rénové de fond en comble, l’endroit s’est transformé en véritable sanctuaire pour les hommes de dix-huit à soixante ans venant réclamer de l’aide. Grâce à une aide financière de la Compétition, et de dons récoltés dans des levées de fonds, la Maison Weston Elric ouvrait officiellement ses portes en 2022, au même moment que la réouverture de mon arène. J'ai donc repris le contrôle de l'Arène d'Anula, et avec celui-ci, j'ai accepté les nouvelles responsabilités imposées par la compétition. Les combats ont repris tranquillement. Mes Champions ont tous acceptés de reprendre les combats. Tous, à l'exception de Rodley, mon Crabaraque. Le vieux crabe avait fait son temps, et après une longue pause depuis la fermeture de l'arène, il était temps pour lui de prendre sa retraite, pour retourner vivre le reste de ses jours dans les ruines du Titak. Ce n'est pas sans regrets que je l'ai laissé repartir, mais il m'a fallu respecter son choix.

Aujourd’hui, j’ai trente-trois ans, je suis divorcé, j’ai deux enfants à temps plein, je suis champion d’arène, et je suis président et porte parole de ma propre fondation. Je vie une vie mouvementée, mais une vie qui me plait. Mais à présent, avec la libération de Mercy, et son retour au sein même de la compétition, je ne suis plus certain de ce que me réserve mon avenir.
Weston Elric
Weston Elric
Elite
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Lun 13 Nov 2017 - 17:36
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Solène E. Ikeda
Bon bah à toi aussi bienvenue chez toi du coup (a)
Weston a bien évolué, & si la fin sur v1 était pas fun j'avoue que j'apprécie beaucoup ce qu'on voit de lui dans ce résumé des cinq ans d'ellipse ** Je pense que le prochain match avec Soso peut être sympa, même si bon elle sera déguisée pour changer xD
Solène E. Ikeda
Solène E. Ikeda
Eleveuse
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Mar 14 Nov 2017 - 11:40
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Cobaltium
Hey, Westiche !
Bon retour sur Enola, ça fait plaisir de te voir rester parmi nous et d'apprendre que le forum te plait !

Je vais m'occuper de la fiche du papa chelou, que j'ai plutôt appréciée dans son ensemble. Je trouve que les progrès en matière d'écriture et de narration depuis sa première fiche de la V1 sont flagrants et l'application que tu y a mis fait vraiment plaisir à voir °W° Sans transitions, passons à la validation o/

Comme tu le sais déjà, nous attendons tout d'abbord tes décisions sur la nouvelle team Elite de Weston. Nous tenons à supprimer définitivement le duo Scarhino/Crabaraque bien trop puissant pour les joueurs/dresseurs débutants et intermédiaires en changeant un des deux pour un Pokémon plus "Moyen" (mais si j'ai bien compris, Rodley va être remplacé ?). Sans oublier que nous avons également un autre Pokémon au 3e stade d'Evolution en la présence de Papillusion ! Si tu as des difficultées pour te décider, n'hésites pas à demander un coup de main ^^

Je passe maintenant à la fiche en elle même. Pas grand chose à dire au niveau du caractère, on retrouve Weston fidèle à lui-même avec toutes ses tares et quelques pistes d'évolution.
Pour ce qui est de l'histoire, c'était agréable à lire et j'ai senti un gain de maturité dans ton écriture plutôt appréciable. J'aurais trouvé plaisant et honnête que Weston admette avec plus de franchise sa possessivité pas très saine qu'il a vis-à-vis de Mercedes et de sa famille, cependant ! J'avais parfois la sensation que la question "planait" dans l'esprit du personnage sans qu'il ne l'évoque °W° L'emphase mise sur son état psychologique instable, dépendant et manipulateur que tu évoque au début de l'histoire surtout s'est un peu perdu sur la fin mais je trouvais cette approche psycho intéressante. Peut-être aurais-je apprécié plus de détails sur le sujet, mais j'imagine que ce sera développé en RP et j'attends de voir ça. Enfin voila, je blablate mais tu as assez bien fait comprendre que la rechute est possible à tout moment, donc c'est plutôt réaliste °W°

Bon, si je voulais vraiment pointer un mini truc du doigt, ce serait que j'ai toujours un petit soucis avec le "pas une once de gras sur mon corps", car c'est physiquement impossible même pour les personnes maigres ou sportives XD Entendons-nous, la graisse est stockée quelque part quoiqu'il en soit ! Enfin, c'est un détail.

Voili voilou, je valide donc ta fiche pour le moment, et nous attendons tes propositions et tes décisions concernant les modifications de la team Elite !
Cobaltium
Cobaltium
Staff
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Mar 14 Nov 2017 - 16:07
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Weston Elric
Yaaay, ça fait depuis hier soir que je refresh la page pour voir si tu étais passée pour valider :derp:

Pour ce qui est de la team élite, j'ai retiré Crabaraque, mais retirer en plus Papilusion..... Il me restera pas grand chose après... Je comprends pas vraiment comment Scarhino et Papilusion sont trop forts alors que Lackmécygne et Aligatueur ne le sont pas... Surtout que Papilusion est loin d'être la 3eme évolution la plus forte de l'histoire des Pokemon :derp:

Pour ce qui est du reste, qu niveau de la possessivité, j'avais pas mon plus envie de rentrer dans les plus petits details dans la fiches, tout comme la manipulation et la dependance, je gardais plutôt ça pour le RP :huhu:

Et au niveau du gras haha si ça t'embête vraiment je peux le retirer, c'était plutôt juste une manière pour dire que monsieur possède in corps sain :derp:
Weston Elric
Weston Elric
Elite
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Mar 14 Nov 2017 - 16:58
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Cobaltium
Pardon si je me suis mal exprimée, je ne parlais pas de retirer Papillusion en plus de Crabaraque. Le combo Scarhino / Papillusion / Statitik est bien plus grand public qu'avec Crabaraque et si ça te va, nous pouvons bloquer ta team ainsi pour commencer. Néanmoins il faudra te passer de CT histoire que les débutants ne se retrouvent pas face à un Papillusion avec Psyko ^^

Par ailleurs, si tu demandes un mode pour passer à 4 Pokémon, le 4e devra être intermédiaire de préférence. Mais on en reparlera le moment venu °W° Pour la team de Mercy, Alligatueur et Lakmécygne ont les même faiblesses dont un x4 pour Lakmécygne et cette équipe ne possède pas de spores handicapants ^^ les deux team se valent et de toute façon, la décision est finale et on ne reviendra pas dessus à moins qu'elle s'avère trop complexe sur plusieurs matchs.

Voili voilou, si tout est prêt pour toi, je vais ranger ta fiche, te donner ta couleur, et me charger de recenser tout ce qu'il faut °W° Et pour le gras, fais ce que tu veux :V

Bon jeu sur Légendes d'Enola et au plaisir de te retrouver inRP !
Cobaltium
Cobaltium
Staff
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Mar 14 Nov 2017 - 18:23
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Mercedes L. Blanchett
Toi.
Rendez-vous en RP hein (a)
Mercedes L. Blanchett
Mercedes L. Blanchett
Elite
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Mar 14 Nov 2017 - 18:43
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