Quoi de neuf sur l'île d'Enola ?

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L'Elu auto-proclamé des Monarchistes fait son entrée ! La Compétition, Elixir et le Gouvernement sont en crise et les Anarchistes demandent la démission du Chef du Conseil.
Mini event n°1 : Panique à Vanawi !
Un blocus Anarchiste est en cours à Vanawi, sous surveillance des forces de l'ordre.

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Vive la rentrée ! (OS, évolution) /!/ contenu sensible /!/
Ludwig Green
Vive la rentrée !
Ferme des Green-Onizuka / Collège - Début septembre
Ludwig  Kylian
/!/ TW : harcèlement à l'école / "bullying" /!/

6h59
Ma gorge se serre quand je me retourne dans mon lit et contemple l’écran à cristaux liquides de mon réveil. Pourquoi déjà ? Dans une minute à peine, il va sonner et annoncer le début d’une journée dont je peux déjà prédire le déroulement. Si seulement ça pouvait s’arrêter, juste avant 7h, selon ma propre volonté… Mais, non, la sonnerie retentit et je dois me lever. Mes journées depuis ma rentrée en début de semaine ont toutes été les mêmes et j’ai la sensation que ce sera pareil toute l’année. Je me dis qu’il faut l’affronter quand même. Que personne n’y peut rien. Que je ne peux rien dire à personne. Et que je le mérite un peu, quelque part. Tel un robot, je me lève et vais m’habiller. Plus vite je commence, plus vite ce sera fini. Enfin, j’espère.


7h21
J’ai un peu trainé. Je descends dans la cuisine et m’assois à ma place, me servant des céréales dorées dans un bol de lait chocolaté. Je ne prête pas vraiment attention à Soltan et Shizune qui discutent calmement (enfin, ils essaient) de Marilyn qui a déjà eu des problèmes avec ses camarades et le CPE au collègue. Raison de plus pour que je la boucle : je ne peux pas mettre mes petits ennuis d’ado chochotte pas capable de se défendre tout seul contre Raoul et compagnie sur les ennuis que la famille de mon tuteur a déjà. Je préfère qu’ils aident Marilyn, enfin, c’est normal, c’est leur enfant, et… Bon, elle se défend, elle, même si c’est parfois un peu violent et avec beaucoup d’arrogance, mais je ferais mieux de prendre un peu exemple sur elle, des fois… Quoique, non, ce serait certainement pire.

« Je te l’ait dit hier, qu’on allait voir le CPE ce soir pour Marilyn… »


Soltan avait l’air lassé, Shizune roulait des yeux. J’arrivais au milieu de la conversation mais je comprends que Marilyn a déjà été convoquée pour des soucis disciplinaires la première semaine… En même temps, vu comme elle réponds aux adultes et comment elle cherche la provocation et la bagarre, je comprends un peu et j’ai du mal à donner tort au CPE.

« Ouais, je sais ! Mais j’ai pas envie de le voir, ce pourri qui va certainement faire comme tous les autres et nous annoncer que notre fille devrait pas se défendre quand les gamins mal élevés l’emmerdent ! »

Agacée, la japonaise partait au quart de tour maintenant, malgré que son compagnon lui fasse signe de ne pas trop élever le ton « en la présence des enfants ». Marilyn, de l’autre côté de la table, ne fait pas la fière.

« Je sais que tu as eu de mauvaises expériences avec l’école. Mais elle ne peut pas débuter l’année en bagarres… Je ne veux pas qu’elle ait des ennuis ou doive changer de collège à peine l’année commencée. »
« C’est pas aller voir le CPE qui va changer quoique ce soit ! J’te rappelle que toi aussi t’as pris cher à son âge, alors ne me dis pas que tu fais confiance à ces abrutis de fonctionnaires. »


Retorqua Shizune, campée sur ses positions, comme d’habitude. De ce que je sais, elle n’a pas terminé sa scolarité, c’était une ado à problèmes, elle a juste laissé tomber et n’a aucune confiance en les établissements scolaires. Cette attitude n’est pas pour plaire à Soltan qui soupire et grogne avant de reprendre.

« Il ne s’agit pas de toi, ni de moi, il s’agit de Marilyn ! »


Et c’est Soltan qui commence à s’agacer… Super ambiance. J’ai super envie d’être ici aussi.

« Je me suis engagé auprès du CPE, j’irais ce soir avec elle. Ne viens pas si tu n’as pas envie. »

Fit le fermier pour conclure la discussion. Shizune soupira et partit se servir un café tandis que Soltan revenait vers nous et nous demanda d’un ton neutre si on avait bien dormi. Je n’ai pas répondu mais les autres l’ont fait avec enthousiasme à ma place.

« Du coup, Marilyn et Lulu, pour ce soir… On s’attend au collège, j’arriverais après avoir pris les petits à l’école, on ira chez le CPE avec Mari. Tu voudras bien nous attendre, Ludwig ? »


J’hoche la tête machinalement, même si rester plus longtemps au collège n’est pas une idée qui me ravit. Je risque d’y croiser Raoul et sa bande qui vont m’emmerder en présence d’Iris et Mikoto, et je pourrais pas les défendre… Bref, grosse joie en perspective.


8h16

Après avoir posé nos vélos dans l’enclos réservé aux deux roues à l’entrée du collège, on franchit la porte avec Marilyn et cette dernière va tout de suite rejoindre sa copine de primaire qui l’attendait non loin de là. Elle a dit qu’elle essaiera de pas se battre aujourd’hui… J’espère pour elle. J’aimerais pas qu’elle se fasse virer. J’ai l’impression que c’est un peu ma seule alliée dans le bahut. Même si elle n’a aucune idée de ce qui m’arrive avec mes « camarades » et les gens de ma classe. J’avais compté sur un coup de chance, pour ne pas atterrir dans la même classe que Raoul et les autres à la rentrée, mais… C’est Cayagane, ce n’est pas une grande ville et le collège-lycée, même si c’est le plus grand de la ville, n’a pas beaucoup de classes de 4e. Bref, c’est comme si je n’avais pas d’autre choix que me coltiner les mêmes gros malabars pénibles que l’an passé.


8h34
J’attends dans le couloir avec ma classe. La prof de maths ne devrait pas tarder… J’aime pas les maths, enfin, j’aime plus du tout l’école de manière générale, alors que j’étais si content d’y aller en primaire. Depuis qu’Alex est parti, plus personne ne me félicitait de bien travailler, alors… Bah, j’ai arrêté de bien travailler. Je me suis posé dans un coin et assis sur mon sac. J’espère que Raoul ne me verra pas en passant. Le reste de la classe m’ignore et je sais que si l’autre abruti m’humilie encore en public, ils ne diront rien. J’ai déjà vécu ça il y a quelques années, après tout. Je sais ce que c’est. Je sais comment ça termine… Enfin… ça ne termine jamais vraiment, pas vrai ?

« Hé, Lulu, t’es venu avec ta petite copine, ce matin ?! »


Eh non, Raoul m’a vu, il s’est posé debout devant moi, prenant visiblement un malin plaisir à me dominer physiquement. Il me fait de l’intimidation et s’appuie sur le mur, d’un bras, m’enfermant complètement et ne me donnant à voir que son horrible personne. En me voyant me crisper et détourner le regard, lui et les autres ricanent.

« Vous l’avez vue, la copine de Lulu, les gens ?! C’est une sixième mais elle est aussi grande que lui ! »

J’en ai vraiment marre de ce mètre 50 qui n’arrive pas. J’y suis presque mais dans la tête des gens, je serais toujours le minus, quoiqu’il arrive.

« Fais gaffe, mec, ça craint, de draguer des sixièmes… T’es un looser à ce point que faut tu te rabattes sur les gamines qui sortent de primaire ?! »


Je tente de répliquer que j’ai grandi avec Marilyn presque comme avec une sœur et que ce serait incestueux et que c’est lui le dégueulasse pur imaginer des scénars pareils (car il le sait, que Marilyn est la fille de mon tuteur) mais tout reste coincé dans ma gorge. Que ce porc de Raoul me fasse la leçon alors qu’il n’a aucun scrupule à reluquer tout ce qui bouge, c’est franchement dégueulasse… Mais bon, si je savais me défendre, ça n’arriverait pas et l’ensemble de la classe ne serait pas en train de me regarder avec des sourires narquois ou dégoutés.

« Eh bien Raoul, on vous entend depuis l’autre bout du couloir. »
« Eheh. Scusez-moi m’dame ! »


Répliqua-t-il avec un de ces airs sucrés à Madame Marais, notre prof de maths qui doit être née pendant l’ère glacière, comme s’il ne s’était rien passé. Le regard de la prof glissa vers moi et elle s’éclaircit la gorge.

« Et vous, Ludwig, la première semaine à peine finie, vous êtes déjà fatigué ? »

Et voilà, ça ricane de nouveau. Je me relève et met mon sac sur mon épaule en marmonnant des excuses à destination de la prof, me sentant plus minus que jamais en face du mètre 60 de Raoul. Oui, madame, je suis fatigué. Je suis une grosse chochotte pour être déjà crevé, c’est inutile de le nier.


12h41
« Prends ma soupe, Lulu, ça te fera peut-être grandir ! »

Avait fait une pote de Raoul en déposant son bol sur mon plateau, éclaboussant partout au passage. Elle et les autres s’installent à la même table. Mais quelle bande de... Il y avait 5 tables libres au moins. Je déteste le temps du midi. Pendant les récréations au moins, je peux me planquer quelque part pour avoir la paix. Mais le midi, je suis à découvert. Je serre les dents et les poings en tentant de les ignorer. Je ne peux pas me lever pour changer d’endroit, ma chaise et mes jambes sont comme fixés… Car j’ai peur et aussi, je me dis que c’est une preuve de courage que de demeurer, comme pour leur faire croire que je n’ai pas peur d’eux. Tss… Tu parles. Je ne réponds pas à leurs remarques et à leurs piques qui se mélangent dans ma tête, créant une bouillie d’insultes cacophoniques, mais je ne peux m’empêcher de me concentrer sur la voix de Raoul… Probablement parce qu’après avoir si longtemps fait reposer mon estime de moi-même sur ses opinions, je me sens encore forcé de l’écouter et de lui donner raison. C’est lui le plus fort après tout, pourquoi lui donner tord… ?

« Nah, mais laisses tomber, il est super chiant avec la bouffe… Ces vacances on était chez mon oncle et ma tante et il faisait tout le temps tout un cinéma dès que y’avait des légumes ! « Gnagnagna j’suis désolé, j’aime paaaas, ouin ouin ! ». »

C’est faux, bordel, même si sa tante cuisinait mal et que j’avais mal au bide tous les soirs, jamais je ne me serais permis… Je continue mon assiette et essaye de faire comme si je n’entendais rien, même si je commence à me demander comment je vais faire pour bouger d’ici. De toute façon, je n’ai plus faim, j’ai mal au ventre et j’ai envie de vomir.

« Bon, alors, tu la bouffes, ta soupe, bébé Lulu ? »

Et voilà, ils s’y mettent tous pour m’ « encourager » à boire ma soupe. Et, donc, je craque sous le coup de la pression et me force à boire sous leurs yeux et les sons insupportables de leurs moqueries. Une fois que j’ai terminé, la nausée empire et je m’empresse de sortir en ignorant leurs rires. Taisez-vous, bon sang… La nausée ne me laissa pas en paix de tout l’après-midi.


16h55
Assis sur les escaliers devant le bâtiment administratif du collège, je regarde Iris et Mikoto qui jouent en attendant que Soltan et Marilyn terminent avec le CPE. Quelle journée de merde. Au moins, les petits ont l’air heureux. Jouer dans la cour du collège, tu parles, ils sont ravis. J’aurais bien fait sortir Kylian et Lenny, mais c’est interdit dans l’enceinte du collège. Le reste de ma classe est parti, l’établissement est calme mais je redoute toujours de voir surgir un Raoul ou d’autres gens de la classe. Et si en sortant ce week-end, je les croisais… ? Ou s’ils me voyaient au marché avec Soltan… ça serait l’argument pour se foutre de moi dès lundi prochain… En même temps, je le cherche un peu. Ils n’ont pas tort, je mène une vie de patachon ingrat chez le fermier qui n’est même pas mon père ni ma famille, y’a plus stylé comme situation.

La sonnerie retentit et les élèves qui viennent de finir les cours à 17h sortent pour se précipiter vers la sortie. Je regarde les gens passer sans trop faire attention, disant à Iris et Mikoto de les laisser passer et de ne pas se perdre. Ces derniers font signe aux « grands » du collège, tout contents, et quelques collégiens attendris rendent leurs signes aux faux jumeaux. Les gens désertent bientôt la cour et je me remet sur mon phone tandis que les enfants retournent jouer.

« Hé, Ludwig, ça va… ? »


Et soudain, un rayon de soleil. Je relève la tête vers la rouquine à lunettes qui s’est arrêtée en bas des escaliers en sortant du bâtiment. C’est Lise, elle était dans ma classe l’an dernier. J’avoue que j’ai crashé sur elle pendant quelques mois, elle était toujours absorbée dans ses livres et dans son coin, et Raoul me disait toujours que ça servait à rien d’aller lui parler car il la trouvait nulle (et comme je suis sacrément stupide et lâche, je l’écoutais car je voulais pas le froisser)… Franchement, je pensais pas qu’elle viendrait me parler un jour car même si je l’ai jamais fait frontalement, eh bah… C’est comme si je l’avais malmenée elle aussi, non… ? Je m’empourpre de honte, hésitant à répondre.

« … Ah, Lise… Salut. Ça va et toi ? »


Je mens et me force à sourire. Apparemment, elle va bien aussi… Elle n’a pas l’air mécontente d’être rentrée, elle, pour le coup. Intimidé, je ne sais pas quoi dire de plus et je crois que Lise est un peu dans le même état. Enfin, après tout, on ne s’était jamais échangé que quelques mots l’année dernière. Je suis vraiment content qu’elle soit venue me parler. Cette semaine n’est peut-être pas si pourrie.

« C’est ton frère et ta sœur… ? »


Demanda-t-elle en parlant d’Iris et Mikoto. Je secoue la tête, un peu embarrassé.

« Ah, euh, non… C’est les enfants de mon tuteur. C’est des faux jumeaux. »
« Oh… Ils sont trop mignons. »


C’est vrai qu’ils peuvent être adorables comme tout. Mais qu’elle attende d’avoir croisé Marilyn, haha. Je n'arrive pas à renvoyer la balle à ma camarade, normalement je compense en posant pleins de question mais j'ai l'impression d'être fermé même avec les gens que j'apprécie. Un nouveau silence passe et je profite de la sérénité de cette ambiance, ça fait longtemps que je n’ai pas eu un bon moment comme celui-là.

« Hé, euh… j’ai vu que Raoul et les autres t’en avaient fait baver, ce midi. »

Finit par oser dire Lise. Je me crispe. Pour plein de raisons, la plupart illogiques, je n’ai absolument pas envie d’admettre la vérité qu’elle vient d’énoncer. Déjà, ça empirerait mes problèmes et ça lui en attirerait. Ensuite… Je ne veux pas qu’on croit que je ne sais pas me défendre seul. J’essaie de me dire que ça va cesser mais que personne ne doit, ni ne va m’aider dans cette situation. Dans tous les cas je refuse d’avouer que j’ai des problèmes, ça pourrait parvenir jusqu’à Soltan et en ce moment, il n’a pas besoin de plus de soucis.

« Euh… Non, non…C’est juste un délire entre nous, t’inquiètes. »
« Ah… Ok. »


Lise n’a pas vraiment l’air dupe. J’ai pas vraiment envie de mettre du sel sur la plaie non plus en en parlant, et je ricane quand même bêtement comme si elle allait mieux y croire de cette façon. Je peux toujours essayer mais il n’y a que moi que j’essaie de convaincre, en réalité.

« Bon, je dois y aller, mon père doit m’attendre. Peut-être à lundi ? »

J’hoche la tête et lui fait des signes d’au revoir, accompagné des jumeaux qui lui font aussi de grands « coucou ».


18h51
Soltan n’avait pas l’air content en rentrant, dans la voiture. Et Marilyn n’était pas bien non plus. Personne n’a dit grand-chose sur le chemin du retour et pour ma part, je suis monté directement dans ma chambre. Lorsque j’ai entendu de nouveau Shizune qui élevait la voix, j’ai pas réussi à me concentrer. Du coup je suis sorti voir Lenny et Kylian dehors, occupés à s’entrainer en s’amusant. Lenny s’envole pour lancer des petites bourrasques en direction du Meditikka pour que celui-ci les esquive avec beaucoup d’aisance et des acrobaties. Je me contente de regarder, pas vraiment déterminé à savoir comment ils pourraient s’améliorer et puis, ils ont l’air de s’éclater. Les voir ainsi, ça me fait envisager de relativiser sur ce qui m’arrive au collège tous les jours. J’essaie de me persuader que ça n’est pas grave, j’ai tord de me prendre la tête, c’est une épreuve de la vie et que n’ai qu’à me blinder et être un peu plus courageux pour le surmonter. Enfin, si j’y arrive un jour.

Les Pokémon eux, ils n’ont pas l’air de se soucier de tout ça : ils s’amusent, et je les envie… Est-ce que la vie c’est toujours comme ça… ? Enfin, je veux dire, si gris, résigné et parfois franchement désespérant ? J’espère que non, sinon c’est probablement que j’ai un sacré problème de ne pas savoir profiter et être heureux quand je pourrais. Mais un autre spectacle parvient à me tirer de mes ruminations. A force de tournoyer pour éviter les attaques, mon Meditikka se met soudainement à briller, ses membres s’allongent tout comme son corps et son tournoiement devient plus rapide et agile. Maintenant qu’il est devenu un Charmina, le Pokémon combat bleu a assez de force et peut étendre son bras pour que Lenny vienne s’y poser. Je me dépêche d’aller le féliciter pour son évolution… Avec, certes, un peu moins d’enthousiasme que ce que j’ai l’habitude de faire car je n’arrive plus vraiment à me forcer.

Bon… Espérons que ce week-end ne soit pas aussi pénible que cette semaine, dans tous les cas.
Ludwig Green
Ludwig Green
Civil
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Sam 8 Sep 2018 - 15:02
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