Pseudo : Taiyō
Date de naissance : 21 mars 2003
Âge : 20 ans
Groupe et rôle : Compétiteur - Dresseur
Métier : Riziculteur
Alignement : Compétition
Origines : Enolianne (de sa mère) et Japonaise (de son père)
Lieux de résidence : Vanawi & Terres Fertiles

Haru a la peau blanche voire un peu pâle. Ne lui demandez pas de bronzer, il n’en est malheureusement pas capable. Seuls les coups de soleil peuvent intervenir dans sa couleur de peau. Bien qu’il essaye de la couper tous les trois mois, Haru ne fait pas réellement attention à sa coupe de cheveux. Ces derniers sont très bruns, héritage de ses origines japonaises, et sont actuellement mi-long. Ils atteignent son cou et sa nuque. Souvent détachés, il lui arrive de les attacher en un petit chignon à l’aide d’un élastique noir qu’il porte en guise de bracelet. Encore une fois, ses origines se marquent parfaitement sur son physique. Notamment ses yeux qui sont un peu bridés mais pas au même point que les asiatiques. Ses yeux sont extrêmement sombres à tel point que l’on ne distingue pas vraiment ses pupilles. Etant dans la taille moyenne, Haru ne se distingue pas des autres hommes et considère même son physique comme banal. Prenant soin de son corps, il est néanmoins musclé. Il n’est pas un gros tas de muscles non plus, il a juste ce qu’il faut. Bien que ce soit naturel, il n’aime pas que son dos soit droit la plupart du temps. Dès qu’il est assis voire même couché sur l’herbe, il n’hésite pas une seconde à courber son dos pour que ce soit plus confortable. Mis à part cette façon de se tenir, il ne porte pas plus d’attention à son corps.

Haru est un personnage torturé. Toutes ces années qui l’ont vu grandir ont été très difficiles. C’est pour cela qu’il reste assez discret et ne se laisse pas mettre en avant. Au contraire de son frère qui n’hésite jamais pour parler fort. Haru ne veut pas vraiment déranger, il ne fera jamais le premier pas. Il préfère rester seul avec lui-même et se perdre dans ses pensées. C’est aussi un grand bosseur, son passé dans les rizicultures lui ont permis d’être extrêmement rigoureux et efficace. Cela ne l’empêche pas de flâner quelques fois sous un arbre ou dans un pré. Il affectionne très particulièrement la nature, il peut dormir dehors sans soucis. Si vous le voyez comme ça, vous pouvez voir qu’il sourit tout le temps mais ce n’est qu’une mascarade. Dès qu’il n’y a personne, son visage redevient triste. Il est encore choqué par ce qu’il s’est passé. C’est d’ailleurs pour ça qu’il tient à sa liberté. Attention à ne pas trop l’oppresser, il se sentira facilement mal à l’aise. Il est introverti de prime abord mais n’hésite jamais à poursuivre une conversation si besoin - tant que vous la commencez. Il peut se montrer très sympathique malgré cette froideur qui le caractérise. Il suffit de creuser un peu pour s’en rendre compte. C’est aussi un jeune homme qui n’hésite pas à protéger une personne dans le besoin. Il viendra facilement en aide à un sans-abri en lui offrant quelque chose à manger, toujours sans un mot mais avec un grand sourire. Il se met rarement en colère, ce n’est que si le sujet lui tient à cœur. Notamment quand on parle de lui, c’est un grand perfectionniste. Il se veut être le plus fort pour pouvoir protéger tout le monde, c’est grâce à ça qu’il a pu développer son côté sportif.

Haru adore la nature et n’hésite pas une seconde à rester à l’extérieur, les terres fertiles étant ses endroits favoris. Il aime le printemps, c’est à cette saison que tout reprend vie de la même façon qu’Enola s’est reconstruite après le Régime. C’est un fan absolu de la Compétition et de la ligue d’Enola, il est heureux de pouvoir réaliser son rêve et de se lancer dans une carrière qui va beaucoup lui apporter. Se rendre utile est vital pour lui, il adore aider son prochain même si la sociabilité n’est pas vraiment son truc. Malgré ses cauchemars, il aime flâner dehors, se poser sous un arbre et rêver à ce que la vie pourrait être si le Régime n’avait pas existé. Il aime se perdre dans ses pensées, le temps passe tellement vite ainsi. Il adore être libre et n’avoir personne pour l’oppresser. Même si c’est encore difficile pour lui aujourd’hui de tourner la page, il est heureux d’être en vie.

Comme dit plus haut, ce n’est pas un grand bavard. Il n’est pas très à l’aise dans les relations sociales autres que familiales bien qu’il puisse facilement se forcer à sourire pour ne pas incommoder. Il n’aime pas déranger les autres ou les faire sentir mal à l’aise. Depuis la fin du régime, il déteste les bruits trop forts et ne comprends pas ces jeunes du même âge qui écoute de la musique via des écouteurs. Il préfère le bruit du vent sur le blé que des sons synthétiques qui ne lui font rien éprouver. Il déteste l’injustice et le fait souvent savoir. Après des années à se taire sous les coups du régime, il se sent beaucoup plus fort pour pouvoir riposter. Encore une fois, ce n’est que si cela est nécessaire. Il déteste par-dessus tout le Régime, bien que disparu depuis cinq ans, et les anarchistes qui ne comprennent pas que la vie est bien meilleure aujourd’hui. Il se méfie beaucoup de l’Elixir mais ne les haït pas non plus.

• Chapitre 3 : Le grand arbre (Capture)

• Prologue : L'inscription (OS)
• Chapitre 1 : Emporté par la foule (Capture)
• Chapitre 2 : Des espoirs (Éclosion)