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A la pêche aux bourges ♫ | ft. Lionel
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Arthur C. Ferguson

A la pêche aux bourges bourges bourges ♫
Arthur & Lionel

Le vieux piano était si peu utilisé qu’il avait soulevé quelques volutes de poussières quand Lionel s’était ms à jouer. Arthur devait s’avouer, avec pas mal de honte, qu’il faisait si peu attention à ses hôtels qu’il laissait certaines pièces à l’abandon, aussi petites soit-elles. C’est vrai, après tout, il pourrait en faire quelque chose, de cet endroit… mais il n’était pas assez doué en la matière pour savoir quoi. Il devrait peut-être en parler à Mara, elle trouverait sûrement une idée épatante, elle. Il faudrait faire un peu de ménage, cependant, l’endroit était sombre et poussiéreux, et la l’ampoule suspendue au plafond vacillait dangereusement, signalant sa fin prochaine. Il n’y avait pas de fenêtre et la grille d’aération n’était pas dans un état des plus fantastiques, à moitié bouchée par des tas de poussière qui faisaient peut à voir d’ici. Un coup de chiffon et d’aspirateur ne ferait pas de mal à l’endroit.

« Ah, désolé pour la saleté… promis, c’est pas partout comme ça ! »

Il avait dit cela sur le ton de la blague, mais ça le gênait tout de même grandement que son ami voit à quel point l’entretien laissait à désirer dans les pièces les moins fréquentées du bâtiment. Le père d’Arthur avait toujours été doué pour faire bonne impression, faire penser qu’il était parfait et qu’il ne laissait rien passer, exigeant autant qu’avec lui-même qu’avec son fils, que dans son travail ou au sein de ses hôtels. Par habitude, le jeune homme aux cheveux blancs se senti honteux, se dit que son père lui aurait sûrement une bonne leçon pour laisser de côté ne serait-ce qu’une pièce de l’hôtel, bien qu’en réalité, il n’était pas sûr qu’il y avait fait attention lui-même.

Parlant de parents, il était vrai qu’il était toujours étrange à Arthur de parler de sa mère. Même à Sten, il n’en parlait pas, et d’une manière générale esquivait le sujet, et ce, depuis le départ de sa maternelle. Il était devenu un pro du changement de sujet quand on lui parlait de Merilda, mais avec les années, il arrivait malgré tout à en parler, et peut-être actuellement, la présence de son ami y était pour quelque chose. Et puis, au grand plaisir du Ferguson, Lionel n’insista pas sur le sujet, et leur discussion revint vite au piano et à sa dissonance.

« Oh bah, c’est pas grave. Je demanderais à un professionnel, au pire… faut que j’y pense, histoire de pas le laisser prendre la poussière ici ! »

Oui parce que déjà que l’ancien soldat ne faisait pas souvent le déplacement jusqu’ici, il lui arrivait aussi très peu souvent de penser aux détails de la gestion de ses hôtels. Sans l’aide de sa collaboratrice, il se noierait dans la paperasse, à laquelle il peinait encore à y comprendre quoi que ce soit.

Arthur avait pensé à plusieurs reprises à se remettre à la musique, mais ne savait pas vraiment par où commencer, ni même quel instrument jouer. Il préférait écouter les autres le faire, il était toujours impressionné par les merveilles que les gens pouvaient faire avec un instrument. A la maison, Sten jouait de la guitare, instrument qu’il pratiquait depuis quelques années, et Arthur adorait l’écouter.

« C’est pas très grave de pas avoir l’oreille musical, tu as pas besoin de ça pour jouer bien ! »

C’était un compliment sincère. Malgré la musique un peu discordante, c’était plutôt joli. De toute façon, Lionel ne pouvait pas aller bien loin avec un piano désaccordé comme celui-ci. Et pas sûr que la résonance de la pièce était idéale non plus.

Arthur se rendit compte qu’il avait fait une erreur en observant la réaction de Lionel après avoir abordé le sujet de ses parents. Le jeune homme aux cheveux blancs n’avait pas réalisé qu’il n’était pas le seul à avoir une relation compliquée avec ses géniteurs. C’est vrai que, auparavant, ils n’avaient jamais vraiment abordé le sujet, surtout quand ils étaient plus jeunes.
Le Ferguson ne s’était pas rendu compte de le relation conflictuelle qui existait entre son ami et ceux qui l’avait élevé, et il regretta immédiatement d’avoir posé la question.

« Ah, euh... » commença-t-il, pas sûr de savoir quoi répondre.

Est-ce que le bleu lui en voulait d’avoir abordé le sujet ? Arthur espérait ne pas avoir trop vexé son ami, et s’en voulait déjà d’avoir encore plombé l’ambiance de la conversation. Il n’était définitivement pas doué pour les interactions sociales, surtout si, en plus, il parvenait par une sorte de talent maudit à blesser celleux qu’il appréciait.

« C’est, c’est pas ce que j’ai voulu dire ! »

Il avait haussé le ton, ce qui était très rare chez lui. Il était loin d’avoir crié, bien sûr, mais il avait réagit quand son interlocuteur s’était traité lui-même d’idiot. Arthur n’allait sûrement pas laisser Lionel se faire des fausses idées, ni s’auto-flageller par la parole de cette manière.

« Au… au contraire, je pensais que c’était moi qui t’accaparait du temps pour rien, vu que tu étais venu pour passer une soirée tranquille, avec les invités… enfin, je pensais ! »

Lionel lui avait toujours paru être quelqu’un d’extraverti et très à l’aise en société, et donc, parfaitement dans à son aise dans une soirée de ce genre, contrairement à l’ex-Régimeux. Pour ce dernier, le Roque-Lartigue se sentait comme un poisson dans l’eau dans les soirée mondaines, à manger des petits fours et boire du champagne en discutant de la paix dans le monde. Bien sûr, le blanc savait que son ami n’était pas aussi hypocrite que le reste de sa classe sociale, mais il l’avait toujours trouvé plus doué que lui pour ce genre d’interactions mondaines. Visiblement, ce n’était pas autant le cas qu’il l’avait pensé.

« Je me fiche bien de… de ce que tes parents pensent… c’est… bah, c’est leur problème s’ils pensent que tu m’accapare… je préfère largement passer du temps avec toi, qu’avec eux ou… qu’avec le reste des invités. »

Pas besoin d’être un génie pour remarquer qu’il était plus à l’aise à parler en petit comité, comme ça, avec quelqu’un qu’il connaissait et qu’il appréciait, qu’avec un grand groupe de personnes qui jouait un rôle pour beaucoup, et avec qui il fallait faire attention au moindre propos prononcé.

« Je suis désolé si j’ai donné l’impression de vouloir retourner là-bas… je suis ici plus par obligation qu’autre chose, alors… c’est agréable de s’éclipser, et de passer du temps avec un ami… Mara va me le reprocher mais… tant pis, au moins, je passe une bonne soirée » déclara-t-il en haussant les épaules.

Même si au fond il craignait quelque peu la réaction de son associée, il se refusait d’abandonner Lionel pour retourner à ses « obligations ». Il avait mis beaucoup de temps à réussir à prendre ses propres décisions et à aller à l’encontre de ce que les autres voulaient de lui quand ça ne lui convenait pas, et il n’allait pas relâcher ses efforts alors qu’il avait le moyen de passer un peu de temps avec un ami, loin des devoirs mondains.

Fort heureusement, Lionel ne tint pas plus que ça compte de sa maladresse, ou du moins ne le bouda pas. Oui, Arthur était persuadé que les gens autour de lui lui tournerait le dos à la moindre erreur qu’il commettait, se disant qu’il n’était de toute façon pas assez intéressant pour que les gens le gardent longtemps pour ami. Cependant, le bleu avait aussi peu envie d’y retourner que lui.

« Un… un plan ? Alors, euh, je sais qu’il y en a un à l’entrée, mais sinon… bon, il y a aussi le plan dans les cuisines, mais c’est celui de la démarche à adopter en cas d’incendie, alors... »

Encore honteux, il devait bien avouer qu’il ne connaissait quasiment rien de ce lieu, qui pourtant lui appartenait. Il avait plusieurs fois réfléchi à tout céder à Mara Jade, et y pensait une fois de plus.

Le Ferguson sursauta à la ré-apparition du Fantominus. Il se demandait bien ce que le petit fantôme leur voulait. Arthur était parti du principe qu’il s’agissait d’un Pokemon sauvage, qui habitait ici. Il n’avait pas l’air domestiqué et le blanc ne connaissait personne qui en possédait.

« Bah je… je sais pas ? Mais bon, peut-être qu’il a quelque chose à nous montrer… si on est prudents… on peut essayer de le suivre ? »

Arthur était à la fois curieux et inquiet de savoir où le spectre allait les mener.

« Et puis, au pire… j’ai mon téléphone, j’appellerais Mara s’il y a un soucis, ou si on est vraiment perdus… elle se moquera de moi, mais bon, tant pis, j’ai l’habitude... »

© ASHLING DE LIBRE GRAPH'
Arthur C. Ferguson
Arthur C. Ferguson
Ex-Régimeux
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Sam 25 Avr 2020 - 12:06
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Lionel Roque-Lartigue

A la pêche aux bourges ♫
Avec Arthur C. Ferguson
Arthur s’excusait beaucoup trop alors qu’il n’avait rien fait de mal. Du moins, c’est l’opinion que Lionel commençait à se forger au fil de leurs échanges. Cela lui faisait un peu de peine pour le plus jeune, bien qu’il compatissait un peu, malgré lui. Le coordinateur, lui aussi, venait de se monter la tête en imaginant qu’il avait monopolisé le Ferguson et que ce dernier se forçait à passer la soirée avec lui plutôt qu’avec d’autres personnes. Oui, faire confiance aux gens, Lionel ne s’en rend pas compte, mais ce n’est pas son truc. Ça pourrait juste rester entre lui et lui-même sauf que cette difficulté à faire confiance à autrui se traduit trop souvent par des maladresse conduisant le quarantenaire à remettre en question ce que d’autres disent ressentir. Ce n’est pas qu’il pense mieux savoir ce qui est bon pour Arthur que le principal intéressé… mais il veut qu’il soit à l’aise. Et en cela, il peut comprendre en son for intérieur (il ne pourrait pas l’expliquer pour autant) l’urgence qu’a toujours le plus jeune de se justifier, de s’assurer de son bien être, de s’excuser au moindre petit soucis.

Mais voila, comme souvent quand deux personnes ont tendance à s’effacer pour mettre l’autre à l’aise et à s’excuser ou se faire une montagne du moindre accroc, eh bien, il y a quiproquo. Après le « ohlalala à cause de moi ses parents vont s’inquièter », le « ohlalala j’ai gaffé je l’ai accaparé dans sa soirée », l’heure était à un nouveau concours d’auto-flagellation. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas plus amusant de faire ça à deux. A droite (évidemment) nous avions Lionel qui persistait à penser que le Ferguson devait mille fois préférer traîner avec quelqu’un d’autre et à gauche Arthur qui stressait à l’idée d’avoir obligé le plus âgé à le suivre. On était pas sorti de l’auberge. Le Roque-Lartigue se sentit un peu con d’avoir contaminé son interlocuteur avec sa propre anxiété. Ce n’était pas son but à la base, évidemment, n’empêche que sur le coup, il regrette un peu d’avoir peut-être ennuyé l’autre avec ses histoires de famille. Mais bon, des fois, quand il faut que ça sorte, eh bah, ça finit par sortir. Lionel se trouve quand même bête, si ça se trouve, Arthur ne le considère plus vraiment comme un ami (et même avant ils n’étaient pas non plus extrêmement proches) après toutes ces années.  

Mais, enfin, il doit dire ça pour me rassurer…

Quand on disait que niveau confiance, c’était pas ça. Et c’est pas non plus dans ses habitudes d’avoir affaire à des gens sincères. « Je me fiche bien de ce que tes parents pensent » résonna dans l’esprit du bleu. Ça le touchait plus qu’il ne l’aurait cru. Il aimerait vraiment pouvoir dire des choses pareilles et de dire que c’était aussi facile que ça. Probablement les place-t-il encore trop haut sur un piédestal. Comme souvent quand il se sent embarrassé, le bleu se sentit rougir et secoua la main en signe de négation en s’empressant de répondre à Arthur.

« Non, non, ce n’est pas ça ! J’ai juste cru que tu préférais peut-être… bref. Enfin, c’est gentil. Je préfère aussi passer du temps avec toi qu’avec d’autres gens, ce soir ! »

Il échappa un petit rire en se sentant redevenir un peu plus jovial. Il se rendit compte qu’il n’avait pas été aussi sincère que son interlocuteur jusqu’à maintenant, à cause de ses habitudes mondaines, de son manque de confiance, de son égocentrisme et regrettait un peu. Il n’avait rien à craindre, avec Arthur, celui-ci ne le jugerait pas de le voir se détendre un peu et d’arrêter de ne penser qu’à bien paraître en serrant les fesses. Évidemment, maintenant Lionel a encore plus peur de le décevoir et se rend compte qu’il a décidèrent peu d’amis comme le Ferguson.

« C’est… c’est super de te revoir, vraiment. Désolé de ne pas l’avoir dit avant. Je passe une bien meilleure soirée comme ça aussi ! »

Tu es gênaaaaaant.

Oui, oui, Lionel se dit encore que ressentir des trucs, c’est gênant et pas bien. Enfin. Pour ça qu’il changea rapidement de sujet et chercha un plan qui n’était pas d’une grande aide. Au retour du Fantominus, le Ferguson sembla une fois de plus plus confiant que son camarade de la soirée. Peut-être que le gosse de riche aux cheveux bleu-verts a des préjugés idiots sur les type spectre, après tout. En un sens, dans son équipe, son Tenefix est une bestiole quelque peu retors quand il ne fait pas la diva capricieuse, il n’a pas de contre-exemple plus jovial. Malgré sa sale tête, la boule de gaz n’était probablement pas si méchante et comme le soulignait Arthur, avait peut-être besoin des deux humains pour quelque chose.

« Ah, oui… bon, baaaah, c‘est parti alors ! »


Le coordinateur finit toujours par céder à sa curiosité. Peut-être que le Fantominus ne voulait pas leur montrer le chemin… mais il est possible qu’il voulait leur montrer quelque chose, dans tous les cas.

« Ne t’en fais pas ! On ne risque pas d’aller bien loin de toute manière ! »


Reste que cet hôtel est drôlement grand et qu’il ne doit effectivement pas être compliqué de se paumer. Le Fantominus eut l’air réjoui de voir les deux humain décider de le suivre. Il commença par grimper par l’escalier de service, ce qui était déjà curieux. S’il voulait leur montrer le chemin du retour, Lionel n’avait pas le souvenir d’être monté ou descendu par là auparavant. Mais le petit fantôme gazeux semblait si motivé que le snobber remplirait le bleu de remords. Le Fantominus avait l’air parti pour monter jusqu’au dernier étage… étrange. En arquant un sourcil, le quarantenaire se retourna vers son ami.

« Hm… tu sais ce qu’il y a là-haut… ? »

Lionel ne regarde pas de film d’horreur, ça lui fait trop peur. S’il en avait vu, peut-être s’imaginerait-t-il des choses on ne peut plus glauques en suivant un fantôme dans un escalier un peu étroit et qui n’en finit pas de monter. Pour le moment, pourtant, ça ressemble plus à une chasse au trésor un peu improbable. Si le coordinateur n’avait pas spécialement de problèmes à grimper des escaliers au vu de sa pratique sportive (et sa Sovkipou grimpait très rapidement sur la rampe, devançant les humains de loin), il se retournait régulièrement vers Arthur pour s’assurer qu’il parvenait à suivre dans soucis.

« Tout va bien ? Dis-moi si tu veux faire une pause ! »


Quelque soit la réponse du plus jeune, Lionel s’arrêta quand même pour l’attendre. C’est alors qu’Arthur arrivait à sa hauteur qu’un bruit sec retentit quelques étages plus haut. Sans trop se méfier, le coordinateur se pencha un peu au dessus de la rampe afin de regarder vers les étranges supérieurs.

« Safu ? C’est toi ? »


Lança-t-il, pensant que sa Sovkipou était tout bêtement à l’origine du bruit. Précisèment au moment où il appela, les lumières des niveaux d’au-dessus se mirent à clignoter frénétiquement, émettant des grésillements inquiétants. Toujours peu impressionné, Lionel pencha la tête sur le côté et se redressa.

« Oh… j’ai l’impression qu’il a des lumières deffectueuses, là-haut… les néons ont été changées récemment ? »

Quelques instants plus tard, les lumières continuèrent de s’allumer et de s’éteindre et les ultrasons électriques se rapprochaient. La Sovkipou de Lionel descendit en vitesse de la rampe, visiblement peu rassurée par ces altérations du système d’éclairage de l’escalier de service. Les néons à leur étage commencèrent à déconner à leur tour et le bleu fronça les sourcils. La situation ne l’inquiétait pas outre mesure, mais il n’aime pas trop l’idée de rester en dessous de lampes qui risquent de péter.

« Ohlala, on ne devrait pas rester ici… je ne voudrais pas être là si les plombs sautent ! C’est peut-être un problème de générateur ? »

Tant pis pour le Fantominus, mais l’idée d’être plongé dans le noir ne plaît pas trop au Roque-Lartigue. Lui qui a tout de même assez peur du noir, il ne ferait pas trop le malin, d’autant plus que les lumières commençaient à faiblir doucement…

Hm… Oui ! On va y aller, hein !

Se dit le quarantenaire en prenant sa Sovkipou et en entreprenant de descendre les marches d’un pas un peu plus préssé et nerveux que tantôt.
Zazambes - Août 2023 - Soirée
Lionel Roque-Lartigue
Lionel Roque-Lartigue
Elite
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Jeu 30 Avr 2020 - 14:26
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